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L'église Notre-Dame. Du temps de Tibère, les nautes ou bateliers parisiens élevèrent, (p.019)

Longs pourparlers avec nos bateliers demi-nus, qui nous ont apportés

Les yeux les moins observateurs du bord sont frappés du contraste qu'offrent ces populations avec les nôtres. Les hommes que nous fréquentons, les bateliers, les boutiquiers, ceux qu'on rencontre dans les rues, ont une dignité d'attitude, une sorte de fierté silencieuse et concentrée qui nous surprend.

Les sauveurs étaient trois bateliers de Saint-Pierre, En route pour Québec avec un lot de bois. Ils avaient aperçu sur le fleuve en colère, Cet homme que la vague enveloppait parfois. Ils firent

Du bout de la rue du Bac Je regarde le paysage printanier, Les bateaux bleus dans l'eau vert pomme, Les linges clairs des mariniers, Le Louvre rose du vieux Roi, Et sur Saint-Germain l'Auxerrois Un ciel aussi fin qu'un tamis d'azur; Du bout de la rue du Bac Tout paraît pur; Tout est paré de couleurs vives comme Une aquarelle de Signac. Bateliers, bateliers, pourquoi donc partez-vous?

[Note 22: Quelques lecteurs me sauront gré de leur donner copie de cette charmante chansonnette, que savent par coeur tous les bateliers et trappeurs canadiens: J'm'en va-t-

Oui, madame, répondit Durocher; mais je ne désespère point de retrouver l'ancien. Comment? dit la marquise en tressaillant. Le cadavre du jeune homme que les bateliers ont entendu tomber dans la Seine a été retrouvé. Eh bien? Ce n'était pas celui de Jérôme. Jeanne, qui écoutait palpitante, se leva en poussant un cri. Tout le monde a signé, maître Durocher, dit la marquise vivement.

Madeleine se dressa: «C'est PaulUn soupçon surgit en son âme. «Il s'est noyédit-elle. Et elle s'élança vers la rive la grosse Pauline la rejoignit. Un lourd bachot monté par deux hommes tournait et retournait sur place. Un des bateliers ramait, l'autre enfonçait dans l'eau un grand bâton et semblait chercher quelque chose. Pauline cria: «Que faites-vous?

La musique de M. Giordano est d'un effet saisissant, surtout au deuxième acte, avec son choeur de bateliers du Volga, dont la mélopée monte en un admirable crescendo, avec ses épisodes si bien en situation, avec le duo si ému de Wassili et de Stefana. Au troisième acte, il faut remarquer l'air de Gleby (le dénonciateur), que publie L'Illustration, et que M. Tita Ruffo, l'excellent baryton, a chanté avec une science rare et une expression tout

«L'ennemi! L'ennemicrièrent les bateliers. Mais déj