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Mis à jour: 18 mai 2025
Dès la pointe du jour, ma chère maîtresse s'éveilla et voulut partir pour Grotta-Ferrata, où l'on avait porté les corps des deux bandits chez les religieux basiliens. Morts sans confession, en état de péché mortel, ils devaient n'avoir de prières que celles de la piété individuelle, et ne recevoir la sépulture que dans un lieu
J'ai rencontré un de ces tyranneaux des mines sibériennes. Au mois d'octobre 1878, je me trouvais au célèbre couvent de Saint-Serge, près de Moscou. Des religieux erraient indolemment dans les cours, sous la robe noire des basiliens. Mon guide, un petit frère lai très-dégourdi, m'indiqua, avec une nuance de respect, un vieux moine accoudé sur la galerie du réfectoire, d'où il émiettait le reste de son pain de seigle aux pigeons qui s'abattaient des bouleaux voisins. «C'est le père un tel, un ancien maître de police en Sibérie.» Je m'approchai du cénobite. Il reconnut un étranger et m'adressa la parole en français. Sa conversation, bien que très-réservée, dénotait une ouverture d'horizon fort rare dans le monde où il vivait. Je laissai tomber le nom d'un des proscrits de décembre 1825, dont l'histoire m'était familière, «L'auriez-vous rencontré en Sibérie? demandai-je
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