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Mis à jour: 5 mai 2025
Et pourtant, s’il occupait solitairement Balistic-Cottage, c’était parce qu’il le voulait bien. On le sait, il n’aurait eu qu’un geste
Puis, après une poignée de main des uns, après quelques soupirs de l’autre, souhaits de réussite et recommandations de ne point se surmener, par un travail excessif, chacun prit congé du calculateur. La porte de Balistic-Cottage se ferma, et Fire-Fire eut ordre de ne la rouvrir
Trois milles, oui! trois grands milles, au moins, séparaient l’hôtel de New-Park de Balistic-Cottage. Mais un fil téléphonique spécial reliait les deux habitations, et sur le « Allo! Allo! » qui demandait la communication entre le cottage et l’hôtel, la conversation s’établissait. Si les causeurs ne pouvaient se voir, ils pouvaient s’entendre. Ce qui n’étonnera personne, c’est que Mrs Evangélina Scorbitt appelait plus souvent J.-T. Maston devant sa plaque vibrante que J.-T. Maston n’appelait Mrs Evangélina Scorbitt devant la sienne. Alors le calculateur quittait son travail non sans quelque dépit, il recevait un bonjour amical, il y répondait par un grognement dont le courant électrique, il faut le croire, adoucissait les peu galantes intonations, et il se remettait
Un soir, le 13 mars, J.-T. Maston était dans le cabinet de Balistic-Cottage, absorbé dans ses chiffres, quand le timbre du téléphone résonna fébrilement. « Allô!… Allô!… murmura la plaque, agitée d’un tremblotement qui dénonçait une extrême inquiétude.
Non! J.-T. Maston habitait toujours Balistic-Cottage, au numéro 109 de Franklin-street, travaillant sans cesse, se délassant déj
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