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Au reste, sur les «cinq», seul Balakirev, grâce

Je pris la décision d'obtenir l'autorisation voulue, en m'adressant en haut lieu, si possible. Cette tentative me fut facilitée par les circonstances suivantes. Au courant de l'automne de 1894, Balakirev abandonna la maîtrise de la chapelle de la Cour et on chercha un nouveau directeur. Un jour, le comte Vorontzov-Dachkov, ministre de la Cour impériale, me convoqua et me proposa de remplacer Balakirev dans sa fonction. La libre disposition de mes mouvements en dehors de tout service d'

<tb> Cette façon de procéder de Balakirev envers ses amis-élèves était-elle rationnelle? Aucunement,

Dès mes premières visites chez Balakirev, j'entendis parler de l'apparition d'un nouveau membre qui promettait beaucoup, c'était A.-P. Borodine.

Lors de ma première venue dans la capitale, il n'était pas encore rentré après les vacances d'été. Balakirev m'avait joué de lui des fragments de la première partie de la symphonie en «mi bém. majqui m'avait plutôt surpris que plu. Lorsque je fis connaissance de son auteur, Borodine, il produisit une excellente impression sur moi et depuis commença notre amitié, bien qu'il fut de dix ans plus âgé que moi. Je fus également présenté

Une composition n'était jamais examinée dans son entier et au point de vue esthétique. En vertu de ces principes, toute nouvelle œuvre que Balakirev faisait connaître

«Les Concerts Russes Symphoniques». La mort de Borodine. Le cercle de Balakirev et le cercle de Belaïev. L'orchestration du Prince Igor. Le Caprice Espagnol; Shéhérazade et l'Ouverture Dominicale.

De tous ses amis-élèves, j'étais le plus jeune: je n'avais que dix-sept ans. Ce qu'il me fallait, c'était de bons exercices de piano, d'harmonie, de contrepoint et des notions sur la forme. Balakirev aurait avant tout m'asseoir au piano et me faire apprendre

Balakirev en fut assez satisfait; mais, trouvant l'accompagnement de piano insuffisant, ce qui était tout naturel chez moi qui n'étais pas pianiste, il le récrivit entièrement. C'est avec cet accompagnement que ma romance fut publiée par la suite. L'amitié de Moussorgsky. Sadko. Tchaïkovsky.

L'exécution fut magnifique: l'ascendant de la célébrité agissait sur l'orchestre russe. Les gestes de Berlioz étaient simples, clairs et beaux. Aucune recherche dans les nuances. Néanmoins, et je répète ce que m'a dit Balakirev