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Mis à jour: 4 mai 2025
Reponse de L. N. M. Carnot, citoyen français, l'un des Fondateurs de la République et membre constitutionnel du Directoire Exécutif, au rapport fait sur la conspiration du 18 fructidor au Conseil des Cinq-Cents par J. Ch. Bailleul, au nom d'une commission spéciale, 6 Floréal an VI de la République.
Le plus jeune des Duhesme portait dans la semelle de ses souliers une lame de couteau, qu'il avait trouvé moyen d'y cacher, dans le trajet de Bailleul
Il est curieux de rapprocher de ces vers un passage d'un écrit de Carnot, qui a pour titre: Réponse de L. N. M. Carnot, citoyen français, l'un des fondateurs de la République et membre constitutionnel du Directoire exécutif, au Rapport fait sur la conjuration du 18 fructidor, au Conseil des Cinq-Cents; par J.-Ch. Bailleul, au nom d'une commission spéciale (6 floréal an VI de la République). Ce passage porte également sur la violence faite
Le prince de Condé ne se porta pas d'abord aux violences que lui conseillaient son caractère et sa position comme chef de parti. Il commença par s'adresser au parlement: il s'y rendit avec le duc d'Orléans (12 avril). Peu s'en fallut que le parlement ne lui fermât ses portes. Les présidents Le Bailleul, de Novion, de Mesmes et Le Coigneux s'étaient assemblés avec le procureur général Fouquet, pour aviser aux moyens de repousser un prince qui avait été reconnu criminel de lèse-majesté par déclaration royale enregistrée au parlement de Paris . Ne se trouvant pas assez forts pour frapper ce coup décisif, ils voulurent du moins lui prouver que sa conduite était sévèrement blâmée par le parlement. Lorsque le prince eut pris séance avec le duc d'Orléans, le président Le Bailleul, qui, en l'absence du premier président Mathieu Molé , dirigeait les délibérations, manifesta en termes énergiques sa désapprobation de la conduite du prince, et dit qu'il n'eût pas voulu le voir siéger au parlement sous le coup d'une accusation de lèse-majesté et les mains encore teintes du sang des troupes royales . Les partisans des princes cherchèrent
Le livre des Considérations devait déplaire aux partis extrêmes. Il désavouait les excès, dogmatiques ou autres, de la Révolution, il en avouait le principe. Il renfermait d'ailleurs l'apologie, sans doute un peu absolue, d'un ministre que les partis les plus opposés rendaient responsable de leurs propres torts, et dont la destinée a prouvé que le juste-milieu peut avoir ses martyrs, comme sa conduite a fait voir que le juste-milieu est, bien plus souvent qu'on ne le pense, une opinion courageuse. L'examen des Considérations par M. Bailleul est la plus considérable,
«Au mois de juillet 1647, ledit sieur président le Bailleul donna sa démission de la charge de surintendant des finances, de laquelle fut pourvu messire MICHEL PARTICELLE, seigneur d'
Sa salle était parée pour le ballet du soir; toutes les belles de la ville priées; tous les violons de la province assemblés, et tout cela se faisait pour divertir madame Le Bailleul. Et cette belle présidente Nous parut si bien ce jour-l
Les Mémoires de Sully nous apprennent que son frère Duret , le médecin, qui a fait bâtir la maison du président Le Bailleul près l'hôtel de Guise, étoit un maître visionnnaire, en un mot, un digne frère du président de Chevry. Il disoit que l'air de Paris étoit malsain, et il fit nourrir son fils unique dans une loge de verre où il ne laissa pas de mourir, peut-être pour y faire trop de façons. Il ne prenoit
L'e de la premiere syllabe est muet; dites, querelle, s. f.: une querelle. Quereller. Quina. Dites, quinquina, s. m. Le quinquina est un tonique. Quincher. Crier d'un ton aigre. Nous n'avons point de verbe qui exprime cette maniere de crier. Rabilleur. Celui qui fait profession de remettre les os rompus ou disloqués; dites, bailleul ou renoueur, s. m.: le bailleul lui a remis le bras.
On dit que c'est le représentant Bailleul, proscrit comme eux, mais échappé
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