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Mis à jour: 4 juin 2025


Samedi dernier, 16 décembre, le Parlement français terminait sa session extraordinaire de 1905. A la Chambre des députés, la séance finale a été marquée par une déclaration du président du Conseil, ministre des Affaires étrangères, au sujet de la question marocaine. Vu l'importance de cette déclaration, sorte de réplique aux deux récents discours du chancelier de Bulow, M. Rouvier l'avait écrite, et c'est au milieu d'un silence attentif que, du haut de la tribune, il en donna lecture devant une salle comble, en présence de la plupart des membres du corps diplomatique. Lorsqu'il eut résumé l'historique des négociations engagées entre les cabinets de Paris et de Berlin pour le règlement du différend franco-allemand et précisé le programme que la France se propose d'apporter

Des ordonnances furent expédiées en même tems au maréchal Grouchy, pour l'informer de ce qui se passait, et lui enjoindre de nouveau de hâter sa marche, de poursuivre, d'attaquer et d'écraser Bulow.

Le 22, l'armée française se mit en mouvement pour suivre l'ennemi. Le douzième corps resta en position sur le champ de bataille pour le couvrir contre les mouvements que le corps de Bulow aurait pu exécuter. L'ennemi prit position en avant de Reichenbach et sur les hauteurs entre Reichenbach et Markersdorff. Le septième corps, qui n'avait pas combattu la veille, soutenu par la cavalerie du général Latour-Maubourg, reçut l'ordre d'attaquer. Le combat fut chaud et brillant, et la cavalerie russe forcée

La conversation est ensuite tombée sur M. de Bulow. Le Roi m'a dit que les Français ne lui en voulaient pas, puisqu'aucun d'eux ne désirerait, ni n'était capable d'avoir sa place. «Il y en a quelques-uns cependant, et

Le baron de Bülow me tint le même langage: «L'Autriche et la Prusse n'ont pas voulu se séparer de l'Angleterre. Le cabinet anglais n'a pas voulu se séparer de lord Palmerston. On compte sur un succès facile. Toute la confiance vient de l

M. Lefebvre et moi ayant cherché des occasions d'entretenir M. de Bulow directement de la situation des finances, ce ministre s'est fortement récrié contre l'imputation d'un déficit de l'année passée. Il a assuré que tout ce qui concernait cet exercice était parfaitement en règle et assuré; mais il a confirmé en même temps tout ce que j'ai déj

Nous parlâmes de la guerre de l'indépendance, M. Bulow avait servi comme officier supérieur; de M. de La Fayette, qui grandit sans cesse dans le souvenir des Américains, qui ne le désignent que par sa qualité (the marquis); de l'agriculture, qui, en ce temps, enrichissait les

En 1814, Blucher et Schwarzenberg, poursuivant Napoléon, envahirent la France par les vallées de l'Aube, de la Marne et de la Seine. En 1815, l'armée anglo-prussienne de Wellington, Blucher et Bulow, venant de Waterloo, se dirigea vers Paris par les vallées de l'Escaut, de l'Oise et de l'Aisne.

Celui des griefs du Roi que M. de Bulow m'a cité consistait en ce qu'il se faisait trop aimer et qu'il se faisait un parti. Il a été question de lettres interceptées. M. de Bulow a justifié celles dont il avait connaissance; son désir jusqu'au dernier moment était de mettre sous les yeux du Roi la liasse de celles qu'il avait reçues et surtout toutes les lettres numérotées de M. Provençal.

M. de Bulow réunit

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