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Mis à jour: 28 juin 2025
Un vent rude soufflait par les azurs cendrés, Quand du côté de l'aube, ouverte
N'était-ce pas vos soeurs, ces deux âmes perdues Qui vivaient, et se sont si vite confondues Aux éternels azurs! Est-ce que leur sourire, est-ce que leurs paroles,
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors je me suis baigné dans le poème De la mer, infusé d'astres et latescent, Dévorant les azurs verts où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend,
Des strophes du Bateau ivre sont de la vraie et de la grande poésie: Et dès lors je me suis baigné dans le poème De la mer, infusé d'astres et latescent, Dévorant les azurs verts où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend, Où, teignant tout
Société, tout est rétabli: les orgies Pleurent leur ancien râle aux anciens lupanars: Et les gaz en délire aux murailles rougies Flambent sinistrement vers les azurs blafards! Mai 1871.
Soeur du grand flambeau des génies, Faite de tous les rayons purs Et de toutes les harmonies Qui flottent dans tous les azurs, Plus belle dans une chaumière,
A chaque pas du jour dans le bleu firmament, La campagne éperdue, et toujours plus éprise, Prodigue les senteurs, et, dans la tiède brise, Envoie au renouveau ses baisers odorants; Tous ses bouquets, azurs, carmins, pourpres, safrans, Dont l'haleine s'envole en murmurant: Je t'aime!
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