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Le matelas en effet était tombé en dehors de la barricade, entre les assiégés et les assiégeants. Or, la mort du sergent de canonniers ayant exaspéré la troupe, les soldats, depuis quelques instants, s'étaient couchés

Les assiégeants voyant que leur canon n'était d'aucun effet revinrent

De leur côté, de temps en temps, les assiégeants prenaient des messagers que les Rochelois envoyaient

À ce moment un des assiégeants parvint

Jusqu'au début de février, ce fut une série de combats, de sorties vigoureuses des assiégés, d'attaques non moins âpres des assiégeants. Les intempéries interrompirent, en mars, les hostilités.

Nous entrons dans notre dock avec le calme et la précision qui marquent tous les mouvements du Cahawba. Une troupe de cochers de New-York est réunie sur le quai; ils ont l'air de gens qui ont volé leurs voitures et leurs chevaux, et qui voudraient voler notre bagage. Pas d'agents de la police en vue. Tout le monde prédit une bataille. Pendant quelques minutes il n'y a d'autre inconvénient que celui de cris violents qui réclament des voyageurs et du bagage; mais bientôt les cochers se pressent sur le pont, on leur donne l'ordre de reculer; l'équipage tâche de les repousser, puis on échange des injures et bientôt des coups. L'un des assiégeants, renversé par un coup violent, tombe évanoui et est porté

Son armée était en garnison dans cette ville, et il avait promis au duc d'Anjou l'appui de cette armée; cependant on n'entendait point dire le moins du monde qu'il y eût division entre les soldats de Guillaume et les Anversois, et la nouvelle d'un seul duel entre les assiégés n'était pas venue réjouir les assiégeants depuis qu'ils avaient assis leur camp devant la place.

La nuit fut fatale aux assiégeants. Pascal, qui voyait ses munitions s'épuiser, ne tirait qu'

Les hostilités ont repris. Mais, du 1er au 24 mars, «les assiégeants ne donnent plus signe de vie». On est toujours dans l'ignorance absolue de ce qui se passe au dehors, et c'est avec une stupéfaction profonde, sans y rien comprendre, que, dans la nuit du 24, on entend soudain le canon de nouveau tonner.

Deux fois, le soir, il vint sur les glacis de cette porte. Il s'y promenait, sans crainte de se découvrir aux coups des assiégeants, dont les premiers postes étaient