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Mis à jour: 30 septembre 2025


Paphnuce n'ignorait pas les prodiges opérés par les arts magiques. Il songeait dans sa grande inquiétude: Peut-être le mort enseveli

Il fut en effet un protecteur magnifique des arts, et bien digne d'être l'ami de Raphaël et des autres maîtres éminents du siècle incomparable de Jules II et de Léon X.

Le 30 pluviôse an IV (19 février 1796), jour de fête, l'on venait de briser publiquement la planche des assignats, après une émission de quarante-cinq milliards cinq cents millions, mesure qui n'empêchait point le louis d'or de valoir sept mille deux cents francs en papier, ce soir, disons-nous, il y avait grande illumination au théâtre Louvois, illumination que faisait d'autant mieux ressortir la masse sombre du théâtre des Arts, acheté un an auparavant

Ils ne se plaignaient pas seulement de ce que les Américains avaient mis en usage beaucoup de mots nouveaux; la différence et l'éloignement des pays eût suffi pour l'expliquer; mais de ce que ces mots nouveaux étaient particulièrement empruntés, soit au jargon des partis, soit aux arts mécaniques, ou

«C'est ainsi que les lettres et les arts, au lieu d'être invoqués par les passions, ne viennent en aide qu'

Toutes les académies avaient été supprimées en 1793. La Convention inséra dans la constitution de l'an III, qu'il serait fondé un institut national «chargé de recueillir les découvertes et de perfectionner les arts et les sciences». Une loi de 1795 organisa cet institut qui fut divisé en quatre classes, comprenant cent quarante-quatre membres et cent quarante-quatre associés. On ne revint

L'homme est un animal bizarre, et fait un singulier usage de sa nature et des arts qu'il invente; il se tue, il se vend; l'un fabrique des nez artificiels, un autre invente la guillotine, celui-l

C'est dans les Calabres et au milieu de toute cette manière d'être qu'ont paru les Paisiello, les Pergolèse, les Cimarosa et cent autres. Certainement, des matelots américains ne m'auraient pas pris pour une jettatura; mais qu'a produit en fait d'arts la raisonnable Amérique? Un écrivain moderne, l'aimable Vauvenargues, ce me semble, a dit: «Le sublime est le son d'une grande âmeOn peut dire avec plus de vérité: Les arts sont le produit de toute la civilisation d'un peuple et de toutes ses habitudes, même les plus baroques ou les plus ridicules. Ainsi, la doctrine du purgatoire préoccupant toutes les têtes en Italie, vers l'an 1300, tout le monde voulut bâtir une chapelle, tout le monde voulut y placer le tableau de son saint patron, pour en être protégé en cas d'entrée au purgatoire; et c'est incontestablement

D'où vient que des hommes aussi pénétrés laissent périr les arts au lieu de les faire revivre? C'est qu'ils n'ont plus de foi, et que sans la foi il n'y a plus d'art possible. Ne viens-tu pas de me dire que l'art était pour toi une religion? Tu te contredis, mon fils, ou bien je ne sais pas te comprendre.

« Eh! monsieur, malgré ma prédilection pour la gloire des armes, je sens au fond de mon cœur qu'il y a aussi de la place et de l'admiration pour la gloire des arts

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