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Mis à jour: 13 juin 2025
L'histoire groupe plus de fervents. Un maître de l'Université de Bruxelles, Léon Vanderkindere, tenta dans Le siècle des Artevelde de rattacher l'histoire de la Belgique
Les Anglais partirent pleins d'espérance . Ils se sentaient appelés par toute la chrétienté. Leurs amis des Pays-Bas leur promettaient une puissante assistance. Les seigneurs leur étaient favorables, et Artevelde leur répondait des trois grandes villes. Les Anglais, qui ont toujours cru qu'on pouvait tout faire avec de l'argent, se montrèrent
En une même année, l'Anglais perdit Montfort et Artevelde. Artevelde était devenu tout Anglais. Sentant la Flandre lui échapper, il voulait la donner au prince de Galles. Déj
Qui pourrait passer devant les Artevelde et ne pas s'arrêter un moment
Il faut l'avouer, d'ailleurs, cette milice ouvrière des grandes villes, pesant, du poids du nombre et de ses armes, sur les résolutions et jusque sur l'administration de la justice et la conduite de la guerre, si elle apportait un contingent puissant d'ardeur et d'énergie, devait amener aussi des résultats moins heureux, dont la suite de cet ouvrage offrira de tristes exemples. Les Artevelde.
Par un de ces enchaînements bizarres qui déjouent les calculs, le triomphe de Philippe le Hardi inaugurait une puissance longtemps rivale de la France. Un Gantois, comme les Artevelde, mais sorti du vainqueur, devait achever de rompre le noeud féodal entre ce royaume et la Flandre. Il devait dans Madrid, l'une des capitales de son empire sur lequel, disait-on, le soleil ne se couchait point, faire consacrer la limite que les Flamands tracèrent pendant quatre siècles, avec leur sang, de Bavichove
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