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Mis à jour: 6 juin 2025
Et le vieillard les brûlait sur du bois sec et les arrosait d'une libation de vin rouge. Les jeunes hommes, auprès de lui, tenaient en mains des broches
Il arrosait, ce vin, le plus spirituel des déjeuners. Peu de viandes,
A quatre heures précises, elle passait au bord des maisons, montait la côte, ouvrait la barrière, et arrivait devant la tombe de Virginie. C'était une petite colonne de marbre rose, avec une dalle dans le bas, et des chaînes autour enfermant un jardinet. Les plates-bandes disparaissaient sous une couverture de fleurs. Elle arrosait leurs feuilles, renouvelait le sable, se mettait
Calypso ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse. Dans sa douleur, elle se trouvait malheureuse d'être immortelle*. Sa grotte ne résonnait plus de son chant: les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait son île : mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir d'Ulysse, qu'elle y avait vu tant de fois auprès d'elle. Souvent elle demeurait immobile sur le rivage de la mer, qu'elle arrosait de ses larmes; et elle était sans cesse tournée vers le côté où le vaisseau d'Ulysse, fendant les ondes, avait disparu
De ce moment, les enfants redoublèrent de soins et d'attentions pour leur grand-père. Lucie écrivait ses lettres sous sa dictée; Alphonse, qui avait trouvé moyen de se constituer le gouverneur des arbres de Marie, parce qu'il avait reçu les instructions de celui qui les avait apportés, entrait tous les jours dans le jardin pour les soigner, et par occasion arrosait les fleurs de M. d'Aubecourt, qui bientôt s'en rapporta tellement
À mes douleurs vous étiez favorable, Et votre belle main, D'une eau pure arrosait mon sein, Et quelquefois votre bouche adorable, Me donnait des baisers, hélas! pleins de douceurs. Pour mieux jouir de mon bonheur, Et vous prouver mes feux et ma reconnaissance, Je souhaitais, en un si doux moment, Que quelque magique puissance, Me fît sortir d'un triste enchantement.
Elle-même, d'un pas léger, sous le parasol de soie jaune qu'elle avait ouvert et qui plongeait sa figure en un bain d'or fluide, descendit vers Babiole. La chienne gredine arrosait la mousse d'un air insolent. C'est l'heure de la collation, dit la marquise de Pompadour
Le plus grand souci du jeune homme était la production des salades. Il dirigeait quatre grands carrés du potager où il élevait avec un soin extrême, Laitues, Romaines, Chicorées, Barbes-de-capucin, Royales, toutes les espèces connues de ces feuilles comestibles. Il bêchait, arrosait, sarclait, repiquait, aidé de ses deux mères qu'il faisait travailler comme des femmes de journée. On les voyait, pendant des heures entières,
Un jour, Aube arrosait sur la terrasse les fleurs de sa mère. C'était une manière indirecte, délicate et silencieuse de témoigner qu'elle pensait
Un jour, Blaise bêchait et arrosait le jardin d'Hélène, lorsqu'ils entendirent des cris perçants qui provenaient d'une maison placée de l'autre côté du chemin, et habitée par une pauvre femme et ses cinq enfants. Blaise jeta sa bêche et courut vers la maison d'où partaient les cris; Hélène l'avait suivi; ils arrivèrent au moment où la pauvre femme retirait d'une mare pleine d'eau son petit garçon de deux ans, qu'elle avait laissé jouer dans un verger au milieu duquel était la maison. Dans un coin du verger elle avait creusé une petite mare pour y laver le linge de son plus jeune enfant, âgé de trois mois. Elle était rentrée pour faire manger au petit sa bouillie, et, pendant cette courte absence, celui de deux ans était tombé dans la mare; il n'avait pas pu en sortir et il avait été noyé. La mère poussait des cris perçants. Les voisins accoururent; les uns soutenaient la mère, qui se débattait en convulsions; les autres avaient ramassé l'enfant, le déshabillaient et essuyaient l'eau qui coulait de ses cheveux et de tout son corps. Blaise courut
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