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Armez vous de joyeux confort, Je vous en pry, mon povre cueur, Que destresse, par sa rigueur, Ne vous navre jusqu'

VERTILLAC. Commandant, mais vous êtes blessé!... gravement blessé! CORLAIX. Vous pouvez y aller du superlatif, mortellement blessé! du moins ça me semble ... Et puis après? VERTILLAC. A vos ordres! CORLAIX. Armez la baleinière de sauvetage, d'abord ... la bordée de quart

De mon honneur!... Il y va de plus que cela pour moi, monsieur le bourgmestre, répondit le prophète d'un ton courroucé; puis, descendant rapidement l'escalier, il ouvrit la porte de la cour, et s'écria d'une voix retentissante: Goliath, déchaîne les chiens!... et vous, l'hôte, des lanternes, des perches... Armez vos gens... faites ouvrir les portes!

Comment le cappitaine & les gentilz hommes avec vingt cinq hommes bien armez & en bon ordre, allerent en la ville de Hochelaga & la situacion dudict lieu.

Et ce sera bien plus long encore si vous ne vous armez de résignation et de courage, Monsieur le chevalier; si vous vous obstinez dans votre tristesse, au lieu de vous distraire! Me distraire! Est-il donc possible de ne pas songer

Allons par terre! dit Jahoua. Nous arriverons une heure plus tard, répondit Marcof. Alors virons de bord. C'est ton avis, Keinec? Oui. Armez les deux avirons

Je sortis mon revolver de la poche de mon veston. «Armez! fit-il encore. J

«Le septiesme jour de février 1536, environ minuict, furent veus au ciel, sur un quartier d'Espaigne, deux hommes armez, et courans sus l'un

En fin Sa Majesté leur a envoyé ses propres lettres affin de ne faillir de venir devers elle, mais, nonobstant icelles, ilz l'ont entièrement reffuzé, et auparavant la présentation des dictes lettres, ayantz assemblé ce qu'ilz avoient peu de personnes, qui n'estoit toutesfoys grand nombre, parce que les plus honnestes gens leur avoient reffuzé d'y aller, ilz sont entrez en une actuelle et ouverte rebellyon, se sont armez et fortiffiez en toute manière d'hostillité, et ont invadé maysons et esglizes, et ont publié en leurs propres noms des proclamations pour mouvoir les subjectz

Ta puissance, Cesar, est en fin sans seconde. Rome en te couronnant te soubsmet tout le monde, Et rend en mesme temps ton sort si glorieux, Que tu ne connois plus de Rivaux que les Dieux: Comme eux tu peux tout perdre, & comme eux tout absoudre, Tes aigles icy bas sont armez d'une foudre, Qu'au gré de tes desirs tu peux mettre en tes mains, Et comme Jupiter en punit les humains: Vous commandez tous deux avec mesme advantage, S'il regne dans le Ciel, la terre est ton partage, Et si cent deitez en reverent les loix, Tu voids quand il te plaist