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Mis à jour: 2 juillet 2025
On a dit du fécond écrivain qu'il était le «Jules Verne anglais», mais Jules Verne lui-même, qui avait une grande admiration pour son jeune confrère, a fort bien marqué les différences qui les séparent et M. Ch.-V. Langlois, de la Sorbonne, écrivait dans la Revue de Paris: «Tout le monde a lu les livres de H. G. Wells, le nouveau Jules Verne anglais, dit-on, mais un Jules Verne mieux informé, d'une fantaisie plus puissante, et philosophe.» Et ce qui a assuré le grand succès de Wells, en Angleterre et en Amérique comme sur le continent, c'est que tout le monde peut le lire et que tout le monde le lit de plus en plus. Le savant professeur qui discute les prestigieuses Anticipations de Wells prend un plaisir extrême
Le 13 décembre, Dupont-Chaumont rend compte au duc de Cadore d'une conversation qu'il vient d'avoir avec le roi et dont voici la substance: Le roi, écrit-il, se plaint de l'opinion de l'empereur qui semble l'accuser de montrer peu de zèle pour le succès de ses armées. La grande plaie est le mauvais état des finances. Son gouvernement est ruiné par les dépenses antérieures, les anticipations d'impôts. On lui conseille de suspendre le paiement des rentes; mais il désapprouve ce moyen, d'ailleurs inefficace. Il voudrait que l'empereur envoyât en Hollande un financier expérimenté qui prît connaissance des choses et en rendit compte. Il espère porter l'armée
Quoiqu'en deux ans, par le moyen des réductions et des économies, il eût considérablement diminué la masse des anticipations dont le Trésor étoit chargé, on trouvoit encore qu'il traitoit en maladie chronique l'épuisement et la ruine des finances et du crédit. La sagesse de son régime, ses moyens d'amélioration, les encouragemens et les soulagemens qu'il donnoit
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