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Mis à jour: 5 mai 2025
[Note 130: Act. XVII, 34. Bède le Vénérable, prêtre anglo-saxon, a composé, au VIIe siècle, sur la philosophie, les sciences, l'histoire ecclésiastique et l'
Les deux empires contiendraient toute la chrétienté, si, dans l'île de Bretagne, le peuple anglo-saxon, chrétien et indépendant, ne préludait déj
Le chien, rendu enragé par des flagellations continuelles, voulait mordre la main qu'il léchait hier. Au nombre des planteurs, les mieux connus pour leur brutalité envers les esclaves, se trouvait le major Flogger. Le major Flogger était Anglo-Saxon.
Observant le peuple allemand au point de vue anglo-saxon, j'aurai peut-être dans ce livre l'occasion de le critiquer, mais il y a chez eux pas mal de choses que nous ferions bien d'imiter et, en matière d'éducation, ils peuvent nous rendre quatre-vingt-dix-neuf points sur cent et gagner haut la main.
«Un bel échantillon du gothique anglo-saxon! dit Yvernès, qui est très amateur de l'architectonique. Vous aviez raison, monsieur Munbar, les deux sections de votre ville n'ont pas plus de ressemblance entre elles que le temple de l'une et la cathédrale de l'autre! Et cependant, monsieur Yvernès, ces deux sections sont nées de la même mère... Mais... pas du même père?... fait observer Pinchinat.
A côté de l'attentat commis sur la personne de Charles, il y a lieu de signaler la tentative qu'aurait faite Herbert pour s'emparer du jeune Louis, son fils, si l'on admet le témoignage de Richer. Dans un passage de la chronique de cet historien, le roi Louis rapporte lui-même, au concile d'Ingelheim (en 948), qu'il a été soustrait aux mains d'Herbert, caché dans une botte de foin par des serviteurs, et qu'ainsi il a pu gagner l'Angleterre avec sa mère Ogive, fille du roi anglo-saxon
Cette menace, prononcée d'une voix forte et menaçante en anglo-saxon, ébranla la confiance du juif: et il se serait sans doute éloigné d'un voisinage si dangereux, si l'attention générale ne se fût tournée en ce moment vers le prince Jean, qui entrait dans l'arène avec une escorte nombreuse, formée de chevaliers, de seigneurs de sa cour, et de quelques ecclésiastiques parés avec autant de recherche que les courtisans.
De la place élevée qu'il occupait, Passepartout observait avec curiosité la grande ville américaine: larges rues, maisons basses bien alignées, églises et temples d'un gothique anglo-saxon, docks immenses, entrepôts comme des palais, les uns en bois, les autres en brique ; dans les rues, voitures nombreuses, omnibus, "cars" de tramways, et sur les trottoirs encombrés, non seulement des Américains et des Européens, mais aussi des Chinois et des Indiens, enfin de quoi composer une population de plus de deux cent mille habitants.
Ah! si c'était le blond vénitien! le blond des Titien! des Véronèse! le blond ardent, le blond chaud, le blond roux!... passe encore; mais le blond anglo-saxon, norwégien, pâle, maladif, flasque et mou! Fi! pouah! Et puis la blonde, cher enfant, une eau qui dort... pas d'élan! la brune bondit, elle tord les barreaux de sa cage, elle vous arrache les yeux, elle vous mord, elle vous mange!
Ce n'était point sous le joug anglo-saxon que pliait alors la Californie. Elle appartenait aux Mexicains, et leur appartint jusqu'en 1846. Cette année-l
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