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Mis à jour: 23 juin 2025


Ils répandent souvent une odeur suave, comme les Andrènes. Leur vol est tout aussi calme et doux que le leur. Mais il ne faut les saisir

Bien différentes de la plupart des Abeilles précédentes, dont les formes sont robustes et trapues, les Andrènes ont un corps élancé, un abdomen déprimé (fig. 87 et 88). De plus, leurs allures sont placides; leur vol, doux et silencieux, ne possède ni la puissance, ni le chant, qui sont l'apanage des Abeilles normales. Ces attributs, qui affirment si haut la supériorité de ces dernières, nous ne les trouverons plus dans aucune des Abeilles que nous aurons

Observée au milieu du duvet de divers hyménoptères, la bizarre bestiole mit longtemps en défaut la sagacité des naturalistes qui, méconnaissant sa véritable origine, en firent une espèce ou un genre particulier des insectes aptères. C'était le Pou des Abeilles (Pediculus apis) de Linné; le Triungulin des Andrènes (Triungulinus Andrenetarum) de L. Dufour. On y voyait un parasite, une sorte de pou, vivant dans la toison des récolteurs de miel. Il était réservé

Leur histoire, que personne encore n'a pu étudier, nous réserve sans doute bien des surprises. Mais les plus intéressants des parasites des Andrènes sont sans contredit les Stylops. Ce sont des insectes bizarres, dont la place dans les cadres zoologiques est assez mal assurée, et pour lesquels on a fait l'ordre, peut-être provisoire, des Strepsiptères.

Les Andrènes sont exposées aux attaques de divers parasites. Les Nomades vont pondre dans les nids approvisionnés, qu'elles visitent sans exciter la colère, ni même éveiller la défiance de leurs hôtes. On dresserait une liste assez longue des espèces de Nomades et des Andrènes auxquelles leur existence est attachée. Certaines Nomades paraissent vouées

Voici maintenant les Osmies. L'une empile ses cellules dans la rampe spirale d'une coquille vide d'escargot; une autre attaque la moelle d'un bout sec de ronce et obtient, pour ses larves, un logis cylindrique, qu'elle divise en étapes par des cloisons; une troisième fait emploi du canal naturel d'un roseau coupé; une quatrième est locataire gratuite des galeries disponibles de quelque abeille maçonne. Voici les Macrocères et les Eucères, dont les mâles sont hautement encornés; les Dasypodes, qui possèdent aux pattes postérieures, pour organes de récolte, un volumineux pinceau de poils; les Andrènes, si variées d'espèces; les Halictes, au ventre fluet. J'en passe et en foule. Si je voulais le poursuivre, ce dénombrement des hôtes de mes chardons passerait

Comme les Andrènes, on les voit, mais plus rarement, porteurs de Strepsiptères, appartenant au genre Halictophagus, mais dont l'évolution n'a point été étudiée. Plus souvent on trouve, au milieu des poils de leur thorax, des triongulins particuliers, qu'on ne connaît pas davantage.

Avril, mai et juin sont les mois les plus riches en Andrènes. Un certain nombre d'espèces sont estivales; très peu sont exclusivement automnales. La plupart n'ont qu'une génération dans l'année, quelques-unes en fournissent deux, peut-être même davantage.

Leurs formes sont élancées, parfois très grêles; leurs antennes filiformes assez longues; la tête singulièrement rétrécie dans sa portion inférieure; l'abdomen, souvent plus long que la tête et le thorax réunis, est fréquemment, très étroit et cylindrique. Ce genre est moins riche en espèces que celui des Andrènes.

Les Andrènes sont bien loin de compter parmi les Abeilles les plus industrieuses. Leur économie ne présente rien de particulièrement intéressant et qui les distingue de celles que nous aurons

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