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Mis à jour: 14 juin 2025
«Dans ce projet qui nous amusa quelque temps, Ampère, qui sait toutes les langues de l'Europe, m'avait chargé, je ne sais pourquoi, moi ignorantissime, de recueillir les poésies originales des Illyriens. Pour me préparer, je lus le Voyage en Dalmatie de l'abbé Fortis et une assez bonne statistique des anciennes provinces illyriennes, rédigée, je crois, par un chef de bureau du Ministère des Affaires étrangères. J'appris cinq
M. Chambon pense que la Guzla fut peut-être écrite en collaboration avec Ampère . Cela est fort possible, mais les preuves suffisantes nous font toujours défaut. Les lettres de Mérimée
M. Ampère a très-bien suivi cette veine grecque légère, comme une petite veine d'argent, dans notre littérature. Encore aujourd'hui, il y a quelques mots grecs restés dans le provençal actuel, il y a des tours grammaticaux qui ont pu venir de l
M. J.-J. Ampère avait alors vingt-et-un ans, puisqu'il est de l'âge du siècle; il avait achevé de brillantes études, et la vocation de son talent semblait le porter plus particulièrement vers la poésie, et vers la poésie dramatique. Mais, dès cette époque, l'universalité de ses aptitudes, la curiosité insatiable de sa vive intelligence, le don de saisir vite et nettement, d'exposer avec élégance les conceptions les plus diverses de la science soit philologique, soit historique, étaient le privilége et le caractère le plus frappant de son esprit. L'animation, l'entrain, l'enthousiasme de ce jeune homme qui, grâce aux plus heureuses facultés naturelles et grâce aussi au milieu dans lequel il avait vécu, n'était étranger
«Mme la duchesse de Noailles me donne de bonnes nouvelles de votre santé, de vos promenades auxquelles ne peut participer le pauvre Ampère. «Toutes mes tendresses les plus tendres, quoique un peu tristes.» Il écrit encore: «Second jeudi de la dispersion. «Mme Lenormant vous possède, je prends bien part
Comme dit M. Ampère, son observation est essentielle. Nous nous appesantirons donc sur ce passage, afin de prouver que, dès le début, M. Ampère faisait fausse route, et que, pour arriver
Le même Bulletin des sciences historiques, que recevaient certainement Fauriel et Ampère, tous deux amis de Mérimée, publia encore, l’année suivante, deux notices sur la poésie serbe. Dans la première , extraite du journal russe Syn otétchestva , on reprochait
M. Ampère ne retourna pas
Ampère voyage, pareil
Outre cette vue supérieure par laquelle il saisissait le fond et le lien des sciences, M. Ampère n'a cessé,
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