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Il subsiste de l'église romane: quatre travées de la nef, les deux transepts, avec les chapelles semi-circulaires pratiquées dans les faces est, et enfin les amorces du choeur ruiné en 1421.

Arrive dans ma chambre, j'ouvris mon secretaire pour y prendre une paire de pistolets... Ah! diable! mon voisin, vous aviez enfin devine? J'en renouvelai les amorces, et, sans eveiller ma femme, j'allai frapper a la chambre d'Angele.

L'âme resta de boue, et toutes les séductions dont elle fut parée, devinrent autant de perfides amorces, pareilles

Martial se tut, honteux peut-être de s'être laissé prendre aux amorces de ce vieux, mais satisfait d'être averti de cette circonstance si importante.

Les ordres du commandant s'exécutèrent aussitôt. Dans la batterie, les canons furent chargés et amorcés, les projectiles placés

On ne peut pas la voir sans l'aimer, pour mille et une amorces. Elle est belle quand elle n'est pas jolie, et elle est jolie quand elle n'est pas belle. Dieu lui a donné une de ces figures parisiennes venues de Dijon, de Reims ou de Rouen, qui prennent les coeurs, parce qu'elle reflète, par je ne sais quel art savant, toutes les figures aimées, la Joconde comme la Pompadour.

Le jour se levait lorsque les brownistes atteignirent le bord méridional. Ayant renouvelé les amorces de leurs armes, ils tournèrent lentement et avec précaution un bouquet de bois, derrière lequel leurs adversaires avaient campé. Coppie, Cox, Hanlett, Stevens, Joe, mirent pied

On sait la promptitude avec laquelle se chargent les pistolets de tir, la balle presse directement la poudre. Les pistolets étaient chargés et amorcés au moment la porte céda. Un flot d'hommes se répandit dans la chambre; les deux coups partirent en même temps comme deux éclairs; deux hommes roulèrent sur le carreau.

L'acoustimètre de M. Exner comprend un appareil producteur de sons (amorces détonant sous l'action d'un percuteur actionné

Au moment la réaction religieuse, philosophique et politique tente un suprême et redoutable effort pour tirer l'humanité en arrière, il a semblé opportun de remettre sous les yeux de ceux qui savent relire tant de vérités de tous les siècles, tant de fines railleries et de réflexions fortes sur les vices, les maux et les hommes dont nous souffrons plus que jamais. Si les Lettres persanes n'ont pas vieilli, si elles sont menacées, pour ainsi dire, d'une éternelle jeunesse, ce n'est point parce que, sur le canevas léger et commode d'un petit roman oriental aussi simple que bien conduit, parmi d'aimables digressions discrètement voluptueuses, sûres amorces jetées au lecteur français, Montesquieu a brodé, avec une précision un peu sèche mais toujours piquante, une peinture de la société française sous la régence, les portraits de ces ennemis publics qu'on nomme les prêtres intrigants et intolérants, les agioteurs sans vergogne, les beaux esprits frivoles, les hommes