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Mis à jour: 21 mai 2025
Le Roi part d'Angleterre. Visite de l'empereur Alexandre
Alexandre avait l'enthousiasme prompt et variable; son cœur généreux et son esprit inquiet le firent s'attacher
Jules II, en lui rendant l'investiture du duché d'Urbin, dont l'avait dépouillé Alexandre VI au profit de César Borgia, son fils, et en lui accordant le généralat des troupes de l'
Comme l'Empereur n'avait parlé que légèrement de la Silésie et formulé d'une manière assez nette ses offres de restitution sur la rive gauche de l'Elbe, Alexandre avait pu, dans ce langage inégalement précis, retenir ce qui répondait
Nous laissons sur le côté trois chambres insignifiantes réservées aux domestiques, et nous entrons dans l'ancienne chambre du commandeur. Ici une alcôve avec deux petits rideaux verts garnis d'une bordure brodée; dans l'alcôve, un lit avec traversin, oreiller et deux couvertures, l'une blanche, l'autre verte. Ce chiffre de deux couvertures, que nous retrouverons dans la description de tous les lits inventoriés, s'explique par l'art. 33 des coutumes de l'Ordre qui dit: le trousseau d'un chevalier se compose de deux chemises, deux paires de bas, deux paires de culottes, une cappe, deux manteaux, une cotte d'armes, un sac ou paillasse, un linceul ou drap de lit, un oreiller et deux couvertures. Une table avec tapis, des escabeaux, deux chaises recouvertes d'étamine verte, deux chenets en cuivre avec pince et pelle du même métal, complétaient ce mobilier que venaient rehausser quelques tableaux: la «Bataille de Calloo», le portrait du lantcommandeur Bongaert, en costume de grand apparat, et celui du lantcommandeur van Ruyssenbergh. En présence d'indications aussi vagues, vous comprendrez qu'il nous est difficile de dire si, par la Bataille de Calloo, il faut comprendre l'épisode du pont construit par Alexandre Farnèze et détruit par les Anversois le 4 avril 1585, ou la représentation de la défaite infligée aux Hollandais lors d'un débarquement tenté
Alexandre discuta vivement ces idées et fit difficulté de les agréer. Il montrait une extrême répugnance
Dom Calmet imprime une lettre d'un officier du duc Alexandre de Wurtemberg qui certifie tous ces faits.
«Frappe de nouveau la lyre d'or, plus fort! et plus fort encore! Fais voler en éclats les chaînes qui retiennent Alexandre dans le sommeil, et réveille-le comme avec le fracas de la foudre. Vois comme
M. de Cabre ne se trouva pas dans le cas de pousser les choses aussi loin, et même Bernadotte lui fit au sujet d'une entente possible, d'un gage qui le rassurerait sur les intentions de l'Empereur, quelques insinuations laissées sans réponse; mais on peut croire qu'elles ne trahissaient plus chez leur auteur que de fugitives hésitations. En fait, c'était vers Alexandre que ses regards se tournaient désormais: sans entrer encore en matière avec lui et sans parler d'alliance, il lui adressait de plus significatifs sourires, cajolait davantage son envoyé ; il se rouvrait ainsi le chemin de Pétersbourg; pour s'y jeter délibérément, il attendait qu'un acte de violence trop facile
Avec tact et précaution, Caulaincourt essayait de le ramener aux questions du jour: la plus grave et la plus pressante n'était-elle point la paix avec l'Autriche? Alexandre parlait alors de cette affaire, mais ses propos restaient vagues et parfois contradictoires. Tantôt il affirmait ne rien vouloir, ne rien ambitionner pour lui-même, se bornant
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