Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 22 juin 2025
Si vous aimiez les compliments, je vous dirais que vous m'avez écrit une lettre vraiment remarquable de jugement, d'observation, de raisonnement et même de style; mais vous m'enverriez promener. Je vous dirai tout bonnement que vos réflexions me paraissent justes. J'ai assez de confiance dans le jugement que vous me donnez en tremblant et sans y avoir confiance vous-même.
Ne vous fâchez pas, señor, je ne vous ai fait aucun reproche. Puissent tous vous imiter! Mais je ne vous demande pas l'impossible; ne vous offensez pas si je vous dis que votre coeur vous trompe. Vous aimiez votre patrie parce que votre père vous l'avait enseigné, vous l'aimiez parce que vous y aviez amour, fortune, jeunesse, parce tout vous y souriait, qu'elle ne vous avait fait aucune injustice; vous l'aimiez comme nous aimons tout ce qui nous rend heureux. Mais le jour où vous vous verrez pauvre, affamé, poursuivi, dénoncé et vendu par vos compatriotes eux-mêmes, ce jour-l
Pourquoi pas, monsieur? vous venez de me dire que vous aimiez
Je vous crois, mais je n'aime pas Rita. Tu l'aimeras. N'est-elle pas aimable? Elle est charmante. Eh bien! force-toi un peu. L'amour viendra ou l'habitude, qui en tient lieu si souvent. Crois-tu que je fusse passionnément amoureux de ta tante quand je l'épousai? Que sais-je! Vous aimiez peut-être les rousses?
Monseigneur, votre volonté est de ne point faire paraître les impressions que vous cause mon récit. Vous vous défiez de cette facilité de parole qu'autrefois vous aimiez. Je tâche d'être simple et bref. Néanmoins je ne puis me défendre de m'interrompre pour vous dire que vos défiances et même vos préventions n'y feront rien. La vérité est plus forte que cela. Du moment que vous avez consenti
Enfin je vous jure pourtant que je ne vous soupçonne pas, ni vous ni lui... je ne vous soupçonne pas du moins de me trahir formellement, de m'outrager, de souiller mon nom... Dieu m'en garde!... Mais, si vous vous aimiez seulement, tout en respectant mon honneur... si vous vous aimiez, et si vous vous le disiez!... si vous étiez l
Bah! bah! vous vous y ferez: je serai pour vous si douce, si reconnaissante, si peu gênante, que vous vous direz: «Après tout, autant faire mon dimanche avec elle qu'avec un camarade...» Si vous êtes libre le soir dans la semaine, et que ça ne vous ennuie pas, vous viendrez passer la soirée avec moi, vous profiterez de mon feu et de ma lampe; vous louerez des romans, vous me ferez la lecture. Autant ça que d'aller perdre votre argent au billard; sinon, si vous êtes occupé tard chez votre patron, ou que vous aimiez mieux aller au café, vous me direz bonsoir en rentrant, si je veille encore. Si je suis couchée, le lendemain matin je vous dirai bonjour
Vous savez bien que j'ai de l'amitié pour vous, Maria. Je ne vous en avais pas parlé encore, d'abord parce que ma terre n'était pas assez avancée pour que nous puissions vivre dessus comme il faut tous les deux, et après ça parce que j'avais deviné que c'était François Paradis que vous aimiez mieux. Mais puisqu'il est mort maintenant et que cet autre garçon des
«Nous avons pris cette liberté, dit M. Peggotty, sachant que vous aimiez assez nos coquillages quand vous étiez avec nous. C'est la vieille mère qui les a fait bouillir. Vous savez, mistress Gummidge, c'est elle qui les a fait bouillir. Oui, dit lentement M. Peggotty en s'accrochant
Mon amour, vous aimiez tant le capitaine Fitz-Marshall; vous l'invitiez constamment ici, et vous ne perdiez aucune occasion de l'introduire chez nos amis.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche