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Mis à jour: 24 juin 2025
Le maréchal de Vieilleville rappelle avec tristesse que la rive gauche du Rhin nous revient et qu'elle est pleine de souvenirs de la munificence française: «Toutes les églises, cathédrales et grosses abbayes, écrit-il, sont bâties et fondées de nos rois, comme aussi les tours et anciens châteaux et la plupart des murs et enceintes des meilleures villes.
Mais qui sont ceux qui, si tendres et si scrupuleux, ne peuvent même supporter que, sans blesser et sans nommer les vicieux, on se déclare contre le vice? sont-ce des chartreux et des solitaires? sont-ce les jésuites, hommes pieux et éclairés? sont-ce ces hommes religieux qui habitent en France les cloîtres et les abbayes? Tous au contraire lisent ces sortes d'ouvrages, et en particulier, et en public,
Mais ces maisons de refuge, ces hôpitaux et ces champs de repos entourés de portiques, ressemblaient en tous points jusqu'au XIVe siècle, aux constructions monastiques, et n'en étaient pour ainsi dire qu'une branche. Les grandes abbayes avaient donné les premiers modèles de ces constructions; elles étaient entrées plus avant encore dans l'architecture purement civile, en affectant des parties de leurs terrains
Quoi! disait-il dans l'article consacré aux vampires dans son Dictionnaire philosophique, c'est dans notre XVIIIe siècle qu'il y a eu des vampires! c'est après le règne des Locke, des Shaftesbury, des Trenchard, des Collins; c'est sous le règne des d'Alembert, des Diderot, des Saint-Lambert, des Duclos, qu'on a cru aux vampires, et que le révérend P. dom Augustin Calmet, prêtre bénédictin de la congrégation de Saint-Vannes et de Saint-Hidulphe, abbé de Sénones, abbaye de cent mille livres de rentes, voisine de deux autres abbayes du même revenu, a imprimé et réimprimé l'histoire des vampires avec l'approbation de la Sorbonne, signé Marcilli!
La sèche et sombre contrée d'Autun et du Morvan n'a rien de l'aménité bourguignonne. Celui qui veut connaître la vraie Bourgogne, l'aimable et vineuse Bourgogne, doit remonter la Saône par Chalon, puis tourner par la Côte-d'Or au plateau de Dijon, et redescendre vers Auxerre; bon pays, où les villes mettent des pampres dans leurs armes , où tout le monde s'appelle frère ou cousin, pays de bons vivants et de joyeux noëls . Aucune province n'eut plus grandes abbayes, plus riches, plus fécondes en colonies lointaines: Saint-Benigne
Antoine Sanguin, son oncle maternel, devint archevêque de Toulouse; Charles, François, et Guillaume de Pisseleu, ses frères, eurent les évêchés de Condom, d'Amiens et de Pamiers, et se partagèrent en outre un grand nombre de riches abbayes. Ses soeurs ne furent point oubliées: deux furent nommées abbesses; les autres alliées aux maisons de Barbançon-Cany, de Chabot-Jarnac et du comte des Vertus.
Ce passage fait bien connaître ce qu'étaient devenues les grandes abbayes au XIIIe siècle,
[Note 24: Ces libertés éclatent dans les enquêtes que fit l'austère et pieux évêque Scipion Ricci (V. ses Mémoires, éd. de M. Potter). Mais elles existaient même en France dans les hautes et nobles abbayes. Le vénérable M. Lasteyrie avait vu avec étonnement celle de l'abbaye de Panthémont
Il eut quatre abbayes qui lui valoient plus de quarante mille livres de rente . M. de Joyeuse le mit si bien avec Henri III, qu'il avoit grande part aux affaires. Ce fut alors qu'il fit beaucoup de bien aux gens de lettres, et leur fit donner bon nombre de bénéfices. Desportes étoit chanoine de la Sainte-Chapelle, abbé de Tiron, de Bonport, de Josaphat, des Vaux-de-Cernai, et d'Aurillac.
Cette constitution si forte des deux plus importantes abbayes de l'Occident, Cluny et Cîteaux, toutes deux bourguignonnes, donne
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