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Mis à jour: 17 juillet 2025
Paris, 12 septembre 1701. Je suis dans le monde, madame, et si peu instruite de ce qui s'y passe, que je n'oserois vous agacer; mais quand vous m'honorez de votre souvenir, j'y réponds avec un empressement, qui vous doit faire connoître la sensible joie que j'en ai, et juger en même temps que mon silence doit s'appeler de la discrétion toute pure. Il est vrai, madame, que vous êtes bien exposée aux grandeurs de ce monde. Vous réussissez si bien, qu'il seroit malheureux que vos talens ne parussent point. Vous ne payez pas seulement d'invention; on n'a parlé ici que de la magnificence avec laquelle vous avez reçu les princes; ce n'étoit qu'en attendant la reine d'Espagne. Madame de Bracciane sera ravie de vous présenter
Paris, 17 juin 1701. Je vous rends mille grâces, madame, de l'attention que vous avez eue
Op., ep. Op., loc. cit., et ep. [Note 141: D. Gervaise qui écrivait vers 1720, dit qu'en 1701, le 3 juin, Mme Catherine de la Rochefoucauld, abbesse du Paraclet, fit retirer de la poussière cette curieuse antiquité, pour la placer solennellement dans le choeur des religieuses sur un piédestal de marbre portant une inscription qui en faisait connaître l'origine. Les auteurs de l'Histoire littéraire, peu favorables
En 1701, M. Grandville, depuis lord Lansdowne, remit au théâtre le Marchand de Venise, avec des changements considérables, sous le titre du Juif de Venise. On l'a joué longtemps sous cette nouvelle forme.
En 1701, Philippe, duc d'Orléans (le régent), étant devenu maître du Palais-Royal, y fit des changements considérables: il le décora principalement des tableaux des plus grands peintres, «en sorte, dit Piganiol, que le cabinet qu'il en a laissé est le plus curieux et le plus riche qu'il y ait au monde.» Ce palais fut le théâtre ordinaire de ses orgies et de ses fameux soupers: «Les soupers du régent, dit Saint-Simon, étoient toujours avec des compagnies fort étranges, avec ses maîtresses, quelquefois des filles de l'Opéra, souvent avec la duchesse de Berry, quelques dames de moyenne vertu et quelques gens sans nom, mais brillant par leur esprit et leur débauche. La chère y étoit exquise; les galanteries passées et présentes de la cour et de la ville, les vieux contes et les disputes, rien ni personne n'y étoit épargné. On buvoit beaucoup et du meilleur vin; on s'échauffoit, on disoit des ordures
5° Le couvent des Feuillantines, fondé en 1622 par madame d'Estourmel, et qui est aujourd'hui converti en propriétés particulières. 6° Le couvent des Bénédictins anglais, fondé en 1640 et où Jacques II a été enterré en 1701. C'est aujourd'hui une propriété particulière.
Chaque province avait ses noëls. Ceux de La Monnoye, en patois bourguignon, ont beaucoup de réputation. Leur auteur, un poète et un érudit, mort au commencement du siècle dernier, avait recueilli ces poésies populaires pour se délasser de travaux plus sérieux. Elles forment aujourd'hui la meilleure part, sans contredit, de son bagage littéraire. Lorsque les noëls de La Monnoye parurent en 1701, ils acquirent promptement une célébrité telle qu'on chantait les refrains partout, même
Leur soeur, Catherine-Henriette, duchesse d'Arpajon, est née en 1622; elle est morte le 11 mai 1701. Le duc d'Arpajon avoit été marié deux fois lorsqu'il l'épousa. Les Beuvron étoient parents des Matignon, dont on voit si souvent le nom
Une soeur qu'il avoit lui survécut bien long-temps; elle est morte sans alliance, comme lui, le 22 août 1701,
[Note 144: On lit dans les Mémoires de Trévoux (mars et avril 1701),
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