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Mis à jour: 20 mai 2025
Le texte de la bulle a été publié par Ehrle, loc. cit., pp. 99-100. Cartulaire de Montélimar, p. 265. Cf. de Coston, loc. cit. Arch. de Valence, C. C., 27, 1426. L'acte fut souscrit par la ville le 25 juin 1427. Arch. municip., Compte de la ville, de septembre 1428, de 1320 écus d'or pour solde de la somme ci-dessus. Arch. municip., B. 36, no 1, Cott. Id., B. 37. Id., B. 34, février 1427.
[p.93] Saillissaient hors de leur tanières, 1427 Et de plus de trente manières Se poursuivaient en tournoyant Parmi le gazon verdoyant. De tous côtés claires fontaines, Sans crapauds ni bêtes vilaines, Coulaient sous le feuillage ombreux. Ces ruisseaux étaient si nombreux Que Déduit fit faire une foule De petits tuyaux où s'écoule Par maints canaux l'onde faisant Un murmure doux et plaisant. Entour ces ruisseaux et les rives Des fontaines claires et vives Frais et dru poussait le gazon. Aussi coucher y pourrait-on Sa mie ainsi que sur la coite, Car la terre était douce et moite Par la fontaine, et il venait Tant d'herbe comme il convenait. Mais moult embellissait l'affaire Surtout le beau site dont l'aire Donnait le jour
A cette époque, le grand chemin des Thermes était devenu, depuis près de deux siècles, une rue populeuse et dans laquelle s'établirent de nombreux colléges: collége de Séez fondé en 1427; de Narbonne, fondé en 1317; de Bayeux, fondé en 1308; d'Harcourt, fondé en 1280 et qui devint le plus célèbre de tous: on compte Diderot parmi ses élèves. Sur son emplacement est le collége Saint-Louis, fondé en 1820, et qui occupe aussi l'emplacement de l'ancien collége de Justice, fondé en 1353, ainsi qu'une partie des jardins des Cordeliers. Jusqu'
[Note 236: On peut voir dans les Recherches de Pasquier le récit de la première apparition des Bohémiens aux portes de Paris, en 1427. Ils reparurent au XVIe siècle, plus nombreux que jamais, et furent condamnés au bannissement par les
«Pour appuyer encore ce qui vient d'être dit, nous offrons les preuves suivantes, qui semblent sans réplique: non seulement Pierre di Gio di Jacopo di Moccio, l'un des informans, lors de la première description des décimes de l'année 1427, est cité comme citoyen de Florence, mais son père et son aïeul sont nommés comme alliés aux trois gentilshommes florentins Grandoni, Federighi et Ricci; de plus, ils résidèrent constamment dans le quartier du Saint-Esprit, où ils avaient leur habitation, et ils avaient établi leur sépulture dans l'église principale; nous citerons la mention de leur résidence au gonfalonier scala (gonfalone scala) où avaient passé Buonaparte gibellin et ses fils; ce qui prouve manifestement que Pierre, dont il vient d'être parlé, a continué d'occuper cette même habitation, comme descendant légitime du même nom, et le rapport du magistrat atteste qu'il était de Florence, habitait le même gonfalonier, et la même maison que le fondateur, M. Niccolo. Mais plus tard, au lieu d'y retourner, les Buonaparte occupèrent San-Miniato; ce qu'il est facile de reconnaître par la réticence que fit Pierre de son surnom dans le premier état de division qui eut lieu de sa part, ainsi que de ses descendans après lui. Cette omission,
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