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Il sembloit que le Ciel conduisit toutes leurs demarches et qu'ils eurent vn Ange pour guide: car ils diuiserent leurs troupes auec tant de bon-heur, qu'ils trouuerent en moins de deux iours, toutes les bandes de nos Chrestiens qui estoient dispersees ca et la, esloignees les vnes des autres de six, sept et huit lieues, cent personnes en vn lieu, en vn autre cinquante; et mesme il y auoit quelques familles solitaires, qui s'estoient escartees en des lieux moins connus et hors de tout chemin.

As before, but with better confidence, they pursue their favourite course in the Levant, and cruise across the Egyptian trade route, where are to be caught ships laden with the products of Cairo and San'a and Bombay; and lay-to at the back of Cyprus to snare the Syrian and Persian goods that sail from Scanderūn; and so home, with a pleasant raid along the Italian coasts, touching perhaps at an island or two to pick up slaves and booty, and thus to the mole of Algiers and the welcome of their mates; and this in spite of all the big ships of Christendom, "qu'ils ne cessent de troubler, sans que tant de puissantes galeres et tant de bons navires que plusieurs Princes Chrestiens tiennent dans leur havres leur donnent la chasse, si ce ne sont les vaisseaux de Malte ou de Ligorne."

Now, in order to understand mediæval love, we must reflect for a moment upon this feudal castle, and upon the kind of life which the love poets of the late twelfth and early thirteenth century whether lords like Bertram de Born, and Guillaume de Poitiers, among the troubadours; the Vidame de Chartres, Meurisses de Craon, and the Duke of Brabant among the trouvères of Northern France; like Ulrich von Liechtenstein among the minnesingers; or retainers and hangers-on like Bernard de Ventadour and Armand de Mareulh, like Chrestiens de Troyes, Gaisses Brulez, or Quienes de Béthune, like Walther, Wolfram, and Tannhäuser great or small, good or bad, saw before them and mixed with in that castle.

Et, pour habituer le pays de Chrestiens, mena avecq luy de toutes sortes d'artisans, entre lesquelz y avoit un homme, qui fut si malheureux, qu'il trahit son maistre et le mist en dangier d'estre prins des gens du pays.

Elle les voyoit mourir entre ses bras, les vns apres les autres, et n'auoit pas mesme les forces de les pousser dans le tombeau. Elle mouroit sous cette charge, et en mourant elle disoit: Ouy, Mon Dieu, vous estes le maistre de nos vies; nous mourrons puisque vous le voulez; voila qui est bien que nous mourrions Chrestiens.