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«Vous me demandez en quoi vous pouvez m'aider; le voici. Le plus grand service que vous puissiez me rendre pour le moment, c'est de faire récompenser raisonnablement mon armée. Après avoir été prodigue envers elle sous le maréchal Valée qui obtenait tout ce qu'il demandait pour les plus minimes circonstances, on est devenu extrêmement avare. Je n'ai pu rien obtenir pour grand nombre d'officiers très-méritants, malgré mes demandes réitérées. L'armée d'Afrique, de laquelle j'ai exigé beaucoup cette année, compare ses services, et elle n'est pas satisfaite. Elle compare aussi les époques, et la comparaison ne m'est pas avantageuse puisque j'exige beaucoup plus de fatigue et que j'obtiens beaucoup moins de faveurs. J'ai cru devoir ramener les bulletins

Entens aussi car comme en la valee De misere tu languis ung pou cy Toute ta vie en decours tost allee Tu es en peine en douleur et soucy Malade ou vain de vertus povre aussi Plein de peché du corps et de l'ame ort En attendant prochainement la mort

Quant hutin se fut desparty Et jeunesse s'en fut allee Je me trouvay en tel party Qu'a peine pouoye partir Du champ ne de celle valee Ne sçay ou jeunesse est allee Mais je me trouvay le matin En ung couvent d'un jacopin

Le 5 mars 1839, le maréchal comte Valée supprima la direction des affaires arabes, dont les attributions furent conférées

Pas six semaines après nous eûmes un horrible Tremblement de terre, qui fut suivi d'une Tempête aussi furieuse que j'en aye de ma vie. La Montagne qui étoit au Couchant de notre Fort, se fendit en deux depuis le sommet jusqu'au pied: en même tems un Torrent d'eau limonneuse en sortit avec une impétuosité extraordinaire. Par bonheur il ne descendoit point directement vers nous, autrement nos Ouvrages auroient couru beaucoup de risque: cette ravine dura jusqu'au lendemain; toute notre Valée étoit sous l'eau, & nous fûmes trois jours sans pouvoir battre la Campagne. Lors que le mauvais tems fut passé & nos prairies séchées, nous montâmes sur la Montagne pour voir une partie des ravages qu'il y avoit causez. Nous trouvâmes que l'ouverture dont je viens de parler, étoit au moins de vingt Toises, ou cent vingt pieds en bas, & de plus de cinquante en haut. Je m'aperçûs le premier, qu'une Fontaine qui étoit proche de sommet, avoit disparu; & comme je vis que les autres la cherchoient, je leur recitai cet Impromptu: Vous n'êtes plus, belle Fontaine, Un tourbillon fatal a fermé vos conduits: Le Ciel, quand il voudra, soulagera ma peine, Et mettra fin un jour de même

Quelques mois après la date de la lettre que je viens de citer , il m'écrivit d'Alger: «Encore une lettre confidentielle et expansive. Des lettres de Paris parlent de la retraite de M. le maréchal Soult pour cause de santé, et ajoutent que l'on flotte entre M. le maréchal Valée et moi. Je regarderais l'éloignement actuel de M. le maréchal Soult comme un grand malheur, et si mon rappel de l'Afrique en était la conséquence, ce serait,

Retard. Lors commença le pleur et le cri merveilleux et horrible par toute la valée; si très-merveilleux et si grant que les montaignes en résonnoient, les valées et les bois de toutes pars. Chascun regretoit son fils ou son frère, ou son cousin ou son ami. Et ce n'estoit pas de merveille le pleur et le cri y es toit très-grant pour tantes nobles personnes qui l