United States or Senegal ? Vote for the TOP Country of the Week !


L'apologie, un peu embarrassée, du gouvernement espagnol ne se fit pas attendre: «Je me suis empressé de voir M. Martinez de la Rosa, répondit le 2 mai M. de Rayneval

En conséquence, il s'était présenté chez monsieur de Rayneval, notre ambassadeur

Monsieur de Rayneval ne pouvait refuser aucune de ces demandes; mais, peu empressé, je crois,

Au premier bruit de cette partie de l'arrangement, M. Martinez de la Rosa en ressentit une vive inquiétude: «Il est très-mécontent, écrivit M. de Rayneval

Je termine ma trop longue lettre, Monsieur le duc, en vous priant d'agréer l'assurance de ma haute considération et de mon respectueux attachement. Signé MIGNET. Le duc de Broglie au comte de Rayneval. 20 janvier 1834.

Vers la fin de 1831, le général Sébastiani était malade, et M. Casimir Périer faisait l'intérim des affaires étrangères. C'était surtout avec les conseils et par les soins du comte de Rayneval qu'il dirigeait la correspondance de ce département, et il lui avait promis, pour s'acquitter envers lui, l'ambassade d'Espagne qu'occupait alors le comte Eugène d'Harcourt. Il résolut un jour d'accomplir sur-le-champ sa promesse, et il chargea M. d'Haubersaert, son chef de cabinet, de rédiger, pour cette nomination, un projet d'ordonnance, d'aller en son nom en demander au Roi la signature, et de l'envoyer au rédacteur du Moniteur avec ordre de le publier dès le lendemain. M. d'Haubersaert, qui avait et qui méritait, par son esprit, son courage et la sûreté de son caractère, toute la confiance de M. Périer, était accoutumé

Je ne ferai donc absolument rien, j'attendrai. Je serai tout comme j'étais, lorsque M. de Rayneval avait l'intérim.

La demande ne nous arriva point inattendue; M. de Rayneval nous l'avait annoncée en l'appuyant de tous les arguments que sa propre conviction lui pouvait suggérer; et avant que nous l'eussions reçue, le duc de Broglie, par une dépêche du 23 mai 1835, avait fait pressentir

«Le Constitutionnel du 11 arrive; il m'apprend que c'est M. de Rayneval et M. le garde des sceaux qui ont le portefeuille par intérim; cela annonce un dénoûment prochain. Ma résolution est inébranlable: Je sors avec M. de La Ferronnays; j'y mettrai seulement de la mesure et de la gravité.» «Rome, samedi 24 janvier 1829.

[481: Conversant un jour avec M. de Rayneval, au mois de juin 1830, M. de Metternich avait dit que Marie-Thérèse et le prince de Kaunitz avaient été forcés d'accepter le désastreux partage de la Pologne,