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Servilius s'empare des forteresses de l'ennemi, d'Oroanda, d'Isaura même, le boulevard de la Cilicie, l'idéal d'un nid de brigands, comme dit Mommsen , juchée au sommet d'une montagne presque impraticable, et planant au loin sur la plaine d'Iconium qu'elle commandait. Cette rude campagne de trois années (78-76) valut

Ici la statistique se transforme véritablement en histoire proprement dite; ici nous pouvons admirer avec reconnaissance les travaux de ces sociologistes qui ont fait de l'histoire des institutions sociales une science dont les progrès placent notre siècle bien au-dessus de ceux illustrés par les plus grands historiens de l'antiquité. A. Thierry, Fustel de Coulanges, de Laveleye, Sumner Maine, von Ihering, Mommsen, pour n'en citer que quelques-uns parmi les plus célèbres, ont scruté les organes spéciaux des sociétés

Res gestæ divi Augusti ex monumentis Ancyrano et Apolloniensi, par Mommsen; Examen des historiens d'Auguste, par M. Egger. Avec la forte organisation de l'Empire, la piraterie disparaît de la Méditerranée. On ne la retrouve plus avec sa constitution formidable, ses états, ses villes, ses domaines; ce n'est plus désormais un adversaire dangereux et capable d'affamer l'Italie.

César, dit Mommsen, était l'homme complet, parfait. Mais au milieu de quelle tragique insécurité ne vivait-il pas? Partout l'homme exerce l'autorité, il en est un qui résiste

Si j'étais docteur, je ne sais si j'aimerais les apologistes comme Pascal et Rigolet, mais je sais bien que des docteurs tels que le père Didon me feraient trembler. Celui-ci n'a-t-il pas eu la malheureuse idée de disputer avec Mommsen au sujet du recensement de Quirinus? Il en sort écrasé.

Quoi qu'il en soit, dit Mommsen , jamais la puissance romaine n'avait été plus humiliée, jamais celle des pirates n'avait été plus grande sur la Méditerranée. Les flibustiers, sur leurs brigantins, se riaient des Servilius l'Isaurique et des Métellus le Crétique. En effet, quelques expéditions isolées ne pouvaient détruire cet insaisissable ennemi: chassés d'un point, les pirates reparaissaient sur un autre, et, grâce

La guerre, d'abord, interrompant, retardant la publication dans le Siècle du feuilleton la Fortune des Rougon, mit un arrêt au fonctionnement des clauses stipulées: l'éditeur devait être remboursé des six mille francs annuels, par lui dus ou versés, mais il était nécessaire, pour cela, que l'auteur les eût encaissés d'un journal, ce qui n'était pas le cas. Ensuite l'éditeur Lacroix, un excellent homme, mais légèrement aventureux et fortement imprévoyant, s'était engagé dans des entreprises honorables, malheureusement, pour la plupart, aléatoires et onéreuses. Il avait payé très cher le droit d'éditer les Misérables. Victor Hugo avait touché 500.000 francs, rien que pour la première édition, format in-8°. Grand admirateur de Proudhon, Lacroix avait entrepris la publication des œuvres complètes du puissant philosophe, qui, sauf quelques ouvrages, se vendirent peu. L'intéressante publication de la collection des Grands Historiens étrangers, Gervinus, Motley, Mommsen, Draper, Prescott, etc., avait donné peu de résultats immédiats. Lacroix se trouvait donc obéré,

Renan annonce qu'il vient de recevoir une lettre de Mommsen, déclarant qu'il serait temps de renouer des relations, de reprendre les travaux de l'intelligence communs aux deux nations. Et sa lettre finit par une phrase, dans laquelle il dit qu'il trouverait digne de l'Académie, de continuer l'Empereur, c'est-

Il est certain que César aima Cléopâtre. Le divin Jules avait plus de cinquante ans. Il avait épuisé toute la gloire et tous les plaisirs et tiré de la vie tout ce qu'elle peut donner d'émotions violentes et de joies fortes. Son élégant visage avait pris la pâleur tranquille du marbre. Il semblait qu'un tel homme ne dût plus vivre que par l'intelligence. Pourtant, quoi qu'en dise M. Mommsen, il aima l'