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Ainsi marâtres de leurs mains 9545 Pour leurs brus font cuire venins, Charmes font et sorcelleries, Et tant d'autres grand' diableries, Qu'on ne pourrait les recenser, Si longtemps qu'on y pût penser. Toutes êtes, serez ou fûtes De fait ou de volonté putes ! Et qui bien vous étudierait Toutes putes vous trouverait. Car tel avantage ont les femmes Qu'elles sont de leur vouloir dames, Et qui pût le fait empêcher Ne saurait leur vouloir forcer. L'injure ni la violence Ne changent point la conscience, Car qui le coeur changer pourrait Du corps ainsi maître serait. Or, laissons ce qui ne peut être; Mais, doux Dieu, roi du ciel et maître, Que puis-je contre ces ribauds Qui de tant de honte et de maux M'accablent? Si je les menace, Ils se riront de ma menace; Si je vais contre eux me ruer, Tôt me pourront battre ou tuer. Outrageux, félons, l'

Ces sentiments sont généreux. Encore faut-il songer aux marâtres et aux indignes, qui brutalisent ou abandonnent leur progéniture. Et je ne puis croire que l'habitude des unions libertaires, la rupture de tous les liens civils et religieux, le relâchement de toutes les obligations divines et humaines, l'extension de ces maximes anarchistes: «Fais ce que veux! Aime qui voudrassoient de nature

Une belle-mère aime son gendre, n'aime point sa bru. Tout est réciproque. Ce qu'une marâtre aime le moins de tout ce qui est au monde, ce sont les enfants de son mari: plus elle est folle de son mari, plus elle est marâtre. Les marâtres font déserter les villes et les bourgades, et ne peuplent pas moins la terre de mendiants, de vagabonds, de domestiques et d'esclaves, que la pauvreté.

Les silhouettes farouches qui rôdent dans cette fosse, presque bêtes, presque fantômes, ne s'occupent pas du progrès universel, elles ignorent l'idée et le mot, elles n'ont souci que de l'assouvissement individuel. Elles sont presque inconscientes, et il y a au dedans d'elles une sorte d'effacement effrayant. Elles ont deux mères, toutes deux marâtres, l'ignorance et la misère. Elles ont un guide, le besoin; et, pour toutes les formes de la satisfaction, l'appétit. Elles sont brutalement voraces, c'est-

Les contes d'orphelines et de marâtres témoignent aussi du profond amour filial des noirs. Voir encore le dévouement de la fille du massa se sacrifiant, dans le conte ainsi intitulé, pour garder le pouvoir

Ainsi, en place de l'orviétan et du bézoard, si fort en crédit de son temps, il indique comme contrepoison le citron; peut-être en exagère-t-il les vertus, par la confiance en Virgile, qui a dit au livre II des Géorgiques: «Contre les poisons des marâtres, il n'est rien de plus sûr que le citron