United States or Burkina Faso ? Vote for the TOP Country of the Week !


Mais qu'est-ce qui a pu le faire ruer? SOPHIE. Oh! ma tante, c'est parce qu'il avait envie de ruer. MADAME D'AUBERT. Je pense bien que ce n'est pas parce qu'il voulait rester tranquille. Mais c'est singulier tout de même.

Dès lors je prévis les conséquences de ces folles démonstrations. Dès lors je vis la populace de Paris se ruer sur Versailles, et juillet recommencer en octobre. Comparant cette poignée de fous

Comprenez donc que ce sont nos affaires décuplées! En deux ans, nous rattrapons l'argent. Qu'importe ce que vous appelez du terrain perdu, si ce terrain vous rend un intérêt énorme!... Vous verrez la foule, quand notre clientèle n'étranglera plus la rue Neuve-Saint-Augustin, et qu'elle pourra librement se ruer par la voie large six voitures rouleront

Oh ! trop heureux d'avoir une si belle femme ! Malheureux bien plutôt de l'avoir cette infâme, Dont le coupable feu, trop bien vérifié, Sans respect ni demi nous a cocufié ! Mais je le laisse aller après un tel indice, Et demeure les bras croisés comme un jocrisse ! Ah ! je devais du moins lui jeter son chapeau, Lui ruer quelque pierre, ou crotter son manteau, Et sur lui hautement, pour contenter ma rage, Faire au larron d'honneur crier le voisinage.

Mais il s'en fallait de beaucoup que la Nuée-Blanche fût satisfaite. Elle se débattait entre les bras de son père, tentait de se dégager pour se ruer encore sur la pauvre Merellum, et se confondait en imprécations effrayantes contre sa victime, contre son mari, contre celui qui la retenait. Elle lui échappait déj

Cependant, comme la porte de devant était enfoncée, et que cette petite troupe, impatiente de se ruer sur les liquides, n'avait pas envie de perdre son temps

Un vertige s'empara de Maurevert. L'idée lui vint de se ruer sur Fausta, de la frapper

Ce n'est cependant pas ceux qui s'attaquent directement au porte-monnaie qui sont les plus malhonnêtes ni les plus redoutables. S'embusquer au coin d'une rue sombre, et se ruer sur le premier passant venu en lui demandant: La bourse ou la vie... est un pauvre métier, un métier de dupe, dépouillé de prestige, et depuis longtemps abandonné aux natures chevaleresques.

Le jeune homme continua de rêver, et de bâtir son projet d'avenir. Il avait raison d'y penser. Personne n'y pensait pour lui. Et il savait que, pour exposer son plan, pour recevoir une réponse, bonne ou mauvaise, il n'aurait qu'une minute ou deux. On trouvait rarement le moyen de discuter, sur quelque sujet que ce fût, avec le général de Meximieu. Ni militaire, ni civil, ni supérieur, ni parent, ne pouvait se flatter d'avoir exposé sa pensée librement et complètement devant cet homme toujours pressé, qui comprenait trop vite, qui marchait en parlant, interrompait, se souvenait, trouvait une formule heureuse et d'ailleurs souvent juste, s'en contentait et s'y tenait. Chez lui aucune économie, d'aucune sorte, mais l'élan, la brusquerie, l'habitude de ruer, de galoper, puis de tourner court. Ceux qui le connaissaient peu croyaient que c'était l

«Enfin, il y a quatre mois, dit Nana Sahib, mon frère Balao Rao est tombé sous les balles anglaises dirigées contre moi... et mon frère n'est pas encore vengé! À mort! À mortCes cris éclatèrent avec plus de violence, celle fois, et toute la bande fit un mouvement pour se ruer sur le prisonnier. «Silence! s'écria Nana Sahib. Attendez l'heure de la justiceTous se turent.