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Allons, je te crois, ma bonne Mathilde; toute ma peur est que tu ne t'ennuies bientôt de cette vie que tu pares, j'en suis sûre, de tout le prestige de ton imagination; je crains aussi que la compagnie de ma belle-mère, madame Sécherin, ne te paraisse bientôt insupportable. Mais ton mari la disait la meilleure des femmes.

Cet aveu surprit et embarrassa le jeune homme lui-même, qui n'avait pourtant pas de grands scrupules. Il voulut catéchiser sa belle-mère: vraiment, ce n'était pas l

Ma belle-mère se fait vieille, et, chose étrange, depuis qu'elle n'a plus besoin de déployer les qualités viriles de son coeur noble et bon, elle redevient insupportable. Il est juste de dire que ses défauts se montrent spécialement en ce qui concerne les enfants de Suzanne.

Permettez-moi, ajoutai-je, de vous remercier de cette bonne pensée; je vous en serai toujours reconnaissant. Je serrai encore une fois ses deux mains légèrement récalcitrantes, et je les reposai sur ses genoux de l'air d'un homme bien décidé. Ma belle-mère resta positivement pétrifiée. Un second silence suivit ma péroraison; mais cette fois je me sentais maître du terrain.

Eh bien! je crois que c'est un Weller! s'écria la grosse dame en regardant Sam d'un air fort peu satisfait. Un peu, que c'en est un! rétorqua l'imperturbable Sam, et j'espère que ce révérend gentleman m'excusera si je dis que je voudrais bien être le Weller qui vous possède, belle-mère

Ma pauvre Sophie, tu as toujours l'air d'avoir peur; tu te dépêches et tu te caches pour les choses les plus innocentes. C'est que je crois toujours entendre ma belle-mère; j'oublie sans cesse que je suis avec vous, qui êtes si bonnes, et que je suis heureuse, bien heureuse

Celle-ci, malgré son sang-froid et son audace habituels, semblait atterrée. Elle sentait que toutes ses séductions seraient impuissantes pour convaincre sa belle-mère.

À ces mots, il s'arrêta, se redressa vivement et, me regardant avec un étonnement profond, il s'écria: « Vous êtes veuve... mes jours sont menacés!... Qu'est-ce que cela signifie? « Et qui ose menacer les jours de M. d'Orbigny, madame? me demanda audacieusement ma belle-mère. « Oui, qui les menace?... ajouta Polidori. « Vous, monsieur; vous, madame, répondis-je.

Ma tante prit avec elle une jeune cousine qui sortait du couvent, Pauline de Pully. Sa mère, cousine germaine de ma tante et de ma belle-mère, avait une très mauvaise conduite, et ma tante fit une chose très utile en se chargeant de la jeune fille, qui avait quinze ans et était très distinguée par l'esprit et par l'instruction. Elle savait bien le latin et lisait Tacite, disait-elle avec simplicité, pendant qu'on la coiffait. Jusque-l

Ma belle-mère, qui est au fond une créature sans détours, n'ayant eu d'autre objectif dans l'existence que de donner le plus possible de citoyens et de citoyennes