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VIII, Nouv. III: de Rutebeuf, la Nouv. de Dom Jean, Journ. IX, Nouv. X, devenue dans La Fontaine, la Jument du Compère Pierre; de Vistace ou Huistace, celle du Mari jaloux qui confesse sa femme, Journ. VII, Nouv. V, et celle de deux jeunes Florentins dans une auberge, Journ. IX, Nouv. VI, d'où La Fontaine a tiré son conte du Berceau.

Les dernières années de Louis XI. Les tentatives des Routiers et des Florentins sur Avignon et le Comté. Le sacrilège Bernard de Guerlands (1478-1479). Les consuls s'adressent

Comme il arrive souvent aux femmes qui ont fait beaucoup parler d'elles, lady Rovel tenait par-dessus tout au respect; elle était sévère sur l'article des bienséances et faisait avec des yeux d'argus la police de ses réceptions publiques. Elle n'y souffrait ni un personnage équivoque, ni une familiarité malséante, ni un propos libre, ni un geste hasardé. Bien qu'elle eût fort peu ménagé l'opinion, elle exigeait qu'on tînt grand compte de la sienne, et depuis son retour d'Allemagne elle était presque collet monté. Elle en avait rapporté aussi le fanatisme du contre-point, elle ne jurait que par deux ou trois maîtres, et méprisait les ariettes. On faisait chez elle beaucoup de musique de chambre, au grand déplaisir des Florentins, qui goûtaient peu l'austérité de cet amusement. Quiconque se fût permis de chuchoter ou de balancer sa chaise pendant l'exécution d'un quatuor de Mendelssohn ou de Schumann aurait été remis

Et les paysages, parisiens ou florentins! Et le style! C'est un composé plus précieux que le métal de Corinthe. Il s'y trouve du Racine, du Voltaire, du Flaubert, du Renan, et c'est toujours de l'Anatole France. Cet homme a la perfection dans la grâce; il est l'extrême fleur du génie latin. LA SOLIDARIT

[Note A: Les réclamations des Florentins ont été vaines jusqu'

La rivière orientale présentait aussi l'aspect de la rébellion et de l'anarchie. Le doge qui, épuisant toutes ses ressources, avait mis en gage ses propres effets pour soutenir les guerres, implorait en vain les secours des Florentins contre ses ennemis.

Mais, comme l'observe fort bien M. Baldelli, un ouvrage on lit l'éloquente apostrophe aux Florentins sur leur ingratitude envers la mémoire d'un grand homme, se trouvent, parmi quelques aventures romanesques, tant de faits réels et d'anecdotes importantes, enfin le Dante est loué avec tant d'éloquence par un si illustre contemporain, est un ornement précieux de la littérature italienne, et n'honore pas moins l'auteur de ces éloges que celui qui les reçoit .

L'un était le grand peintre, l'autre le grand poète; le premier court et replet; le second maigre et long; tous les deux également vêtus de robes de bure, également coiffés de bonnets florentins, tous les deux également neurasthéniques, car ils avaient, dans des corps différents, des âmes pareilles et des esprits lilialement jumeaux.

Pendant ce temps, vers le nord de l'Italie, deux puissantes républiques, Gênes et Pise, se disputaient l'empire des mers, équipaient des flottes formidables et se livraient des batailles sanglantes. Pise, écrasée par ses pertes , et peu généreusement attaquée par les Florentins, parce qu'elle était Gibeline, et que les Guelfes dominaient alors

Les Florentins avaient un but que l'occasion favorisait, et ils se gardaient bien de se compromettre pour tirer leurs voisins d'embarras; après de longues intrigues, ils obtinrent la possession qu'ils briguaient. Gênes leur vendit Livourne pour 120,000 ducats d'or4.