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Je tombai bientôt dans une sombre incertitude; il me semblait que je me détestais moi-même; et, souvent lorsque j'étais seul, songeant

Qu'est devenu ce mouvement, ce bruit, le train-train des calottes? Je ne détestais pas qu'on m'appelât bandit, gredin; j'y étais fait, même cela me flattait un peu.

Je la détestais comme je te détestais quand j'étais méchant; mais,

Pourtant tu me disais encore ce matin que tu les détestais. Sans doute, je déteste toutes celles que je connais; car je ne connais que des filles de mauvaise vie. Pourquoi ne cherches-tu pas une fille honnête et douce? une personne que tu puisses épouser, c'est-

Et je la détestais. J'aurais voulu qu'elle vît combien je la méprisais. Je lui adressai des paroles méchantes, comme si elle eût été devant moi. Puis vinrent les reproches, et après les reproches les souvenirs d'amour. Ma colère tourna peu

Une ombre de sourire détendit la lèvre de Léna. Ah! mon costume! Croiriez-vous que moi, qui le détestais, j'ai été triste de le quitter, ce matin! Il ne répondit pas. J'ai peur d'avoir mal choisi ma nouvelle toilette, dit-elle, vaguement inquiète; ou plutôt, c'est ma tante qui m'a guidée. Est-ce qu'il n'est pas bien?

SOPHIE. Oh oui! je le vois bien; mais c'est singulier: quand j'étais méchante et que ma belle-mère me punissait, je me sentais encore plus méchante après, je détestais ma belle-mère; tandis que Mme de Fleurville, qui m'a punie, je l'aime au contraire plus qu'avant et j'ai envie d'être meilleure.

»Je m'éloignai, la rage dans le cœur, en jurant de me venger, et je me rendis avec Stoffar dans un petit château isolé, que j'achetai près de Wilna, et je me retirai, afin de méditer en liberté sur les moyens de perdre celle que je détestais.

J'ai été bien inquiète hier de ne rien recevoir. Aujourd'hui, cher et cruel anniversaire! je reçois ta lettre du 12, qui me tranquillise un peu; car, dans la journée d'hier et toute cette nuit, j'étais découragée et désespérée. J'attends maintenant le télégramme promis... Ah! si vous pouviez me répondre: Beaucoup mieux! je bénirais encore ce 14 juillet, que je détestais ce matin. Ce qui est déchirant, c'est de penser

Hélas! plût au ciel que cela fût vrai! répondit M. Minxit; mais une vérité déplorable que je ne puis dissimuler, c'est que ma fille est morte parce que je ne l'ai pas assez aimée. J'ai agi envers elle comme un exécrable égoïste: elle aimait un noble, et je n'ai pas voulu qu'elle l'épousât parce que je détestais les nobles; elle n'aimait pas Benjamin, et j'ai voulu qu'il devînt mon gendre parce que je l'aimais. Mais j'espère que Dieu me pardonnera. Ce n'est pas nous qui avons fait nos passions, et nos passions dominent toujours notre raison. Il faut que nous obéissions aux instincts qu'il nous a donnés, comme le canard obéit