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Un jour Mme de Fleurville entra chez Sophie; elle tenait une lettre. «Chère enfant, dit-elle, voici une lettre de ta belle-mère....» Sophie saute de dessus sa chaise, rougit, puis pâlit; elle retombe sur son siège, cache sa figure dans ses mains et retient avec peine ses larmes.

Un après-midi, Mme de Fleurville les appela: «Camille, Marguerite, mettez vos chapeaux; nous allons faire une promenadeCAMILLE. Allons vite avec maman! Marguerite, laisse ta poupée et courons. MARGUERITE. Non, j'emporte ma poupée avec moi; je veux l'avoir toujours dans mes bras. MADELEINE. Si tu la laisses traîner, elle sera sale et chiffonnée.

Je crois que ce sont nos petits anges», reprit Marguerite. Mme de Fleurville arrivait avec Mme de Rosbourg. «Voici l'ange qui a fait pousser vos fleurs, dit Mme de Fleurville en montrant Mme de Rosbourg. Votre douceur et votre bonté l'ont touchée; elle a été acheter tout cela

Il faut la détruireMme de Fleurville se retourna vers les petites, muettes et consternées. «Que faire, mes chères petites, sinon oublier ces hérissons? Nicaise a cru bien faire en les tuant; et, en vérité, qu'en auriez-vous fait? Comment les nourrir, les soigner

C'est un chien enragé qui m'a mordueMme de Rosbourg poussa un cri étouffé, pâlit et demanda d'une voix tremblante: «Qui t'a dit que le chien était enragé? Pourquoi ne me l'as-tu pas dit tout de suite? Mme de Fleurville m'a recommandé de faire bien exactement ce qu'elle avait dit, sans quoi je deviendrais enragée et je mourrais.

Après avoir embrassé encore Mme de Fleurville, Sophie courut chez ses amies pour leur annoncer ces grandes nouvelles. Ce fut une joie générale; elles se mirent

Les domestiques avaient emporté la femme de chambre évanouie, l'ouvrière en convulsions; Mme de Fleurville et ses soeurs les avaient suivies pour leur porter secours. Mme de Rosbourg, que sa tendresse pour son mari rendait un peu craintive, était restée sur le perron avec les enfants.

Ce sera moi et ma soeur de Fleurville, dit M. de Traypi; ensuite de Rugès avec Mme de Rosbourg; puis ceux qui se laisseront prendre. Une, deux, trois. La partie commence: le but est

Camille et Madeleine jetèrent leurs livres et se précipitèrent avec terreur vers Marguerite. Mmes de Fleurville et de Rosbourg s'étaient aussi levées précipitamment et interrogeaient Marguerite sur la cause de ses cris. Marguerite ne pouvait répondre; les larmes la suffoquaient.

MARGUERITE. Ah! que je suis contente de savoir cela! je n'aurai plus peur du tonnerre. MADAME DE FLEURVILLE. Voil