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Il est intéressant, mais il n'a pas été composé d'après les autorités contemporaines, et l'auteur a pris pour historiques tous les détails romanesques inventés par D. Gervaise. Abailard et Héloïse, avec un aperçu du XIIe siècle, par F.C. Turlot, 1 vol. in-8°, 1822. L'article d'Abélard dans l'Histoire littéraire de la France, ainsi que celui d'Héloïse.

Rien cependant n'arrêtait la marche ascendante d'Abélard. Du haut de sa montagne, il devenait de fait le maître des écoles, et celui qui dans la Cité en occupait la place n'était plus qu'un vain simulacre sur une chaire impuissante.

[Note 306: Othon paraît croire que l'apologie d'Abélard fut faite

[Note 443: La doctrine philosophique d'Abélard n'ayant été connue, jusqu'en 1836, que par de courtes phrases éparses dans quelques auteurs, il n'en faut point chercher une exposition satisfaisante dans les historiens de la philosophie. Brucker, dont le savant ouvrage contient presque tout ce que ses successeurs n'ont fait que remanier, donne tout ce qu'on pouvait donner de son temps. (Hist. crit. phil., t. III, p. 731-764.) Buhle a compris toute la scolastique dans son introduction, mais le peu qu'il dit d'Abélard est remarquable. (Trad. franc., 1810, t. I, Introd., sect. III, p 686-801.) Tennemann lui consacre un article intéressant et assez étendu, mais il ne parle guère que de théologie. (Gesch. der Phil., t. I, c. v, sect. II, p. 167-202 et dans la trad. franc. de son Manuel, t. I, § 260.) Tiedemann procède

On remarquera seulement qu'ainsi que nous l'avons annoncé, la logique offre dans son cours des questions qui la dépassent et qui intéressent les parties les plus élevées de la philosophie. Tout n'est donc pas science de mots dans la dialectique. Au reste, nous recueillons ici une des premières expressions de cette théorie des futurs contingents, un des points les plus célèbres et les plus importants de la scolastique. Le germe de la doctrine d'Abélard est dans Aristote. Les détails sont pour la plupart empruntés

Il n'y en a point d'Abélard. Voyez ci-après la note sur les élégies bibliques. Le Recueil des chants hist. franç., Introd. p. v, et Ab. Op., ep. I, p. 12; ep. XII, p. 92, et t.

Aucun ouvrage d'Abélard ne nous paraît au fond plus que son

[Note 60: «In toto regno nominatissimam.» (Ep. I, p. 10.) Observez qu'il s'en fallait alors que totum regnum fût toute la France; mais il n'en est pas moins vrai que la réputation littéraire et scientifique d'Héloïse n'a pas eu d'égale dans les temps modernes. Malgré la déclaration modeste d'Abélard, per faciem non infima, on s'est obstiné

La traduction des lettres d'Héloïse et d'Abélard, par le bibliophile Jacob, insérée dans la Bibliothèque d'élite, in-12, Paris, 1840. Cette traduction, fort bien faite, est précédée d'une notice intéressante et détaillée qu'on doit

III. Les autres ouvrages d'Abélard, savoir: Petri Abaelardi Theologia christiana. Ejusdem Expositio in Hexameron. Petri Abaelardi Dialogus inter philosophum, judaeum et christianum. Henr. Rheinwald, Anecdot. ad histor. ecclesiast. pertin., partie.