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Mis à jour: 4 juin 2025
L'armistice venait d'être signé. Il fallut ramener le 4e zouaves dans Paris, où il devait être désarmé. Un effroyable accablement nous avait saisis. Quoi! tant de morts et perdre jusqu'
Il remercia le dieu des loups au fond de son âme, car les zouaves abondaient et flairaient déj
Il y avait devant nous un vaste parc dont l'artillerie avait renversé les murs; les Prussiens s'y étaient logés. Un capitaine qui courait nous le montra du bout de son épée. En avant! On s'élance après lui par-dessus les pierres éboulées, on entre par les brèches; on se précipite au milieu des massifs et des avenues. Le parc est vide, l'ennemi a décampé, laissant quelques morts, le nez dans l'herbe. Il y avait de l'autre côté du parc une route où le passage de l'artillerie et des fourgons avait creusé des ornières. A l'appel du clairon, les zouaves s'y rallient. Le beau soleil nous animait et nous égayait, nous avions chaud; nous pensions que rien ne nous était impossible. Afin de ne pas perdre une minute, on se mit
Sur ces entrefaites, j'appris qu'on formait un bataillon de francs-tireurs au moyen de quatre compagnies prises dans chacun des quatre régiments de la division, qui se composait alors du 4e régiment de zouaves et du régiment des mobiles de Seine-et-Marne réunis sous le commandement du général Fournès, et du 135e de ligne avec les mobiles du Morbihan embrigadés sous les ordres du colonel Colonieu, faisant fonction de général. J'avais été nommé caporal-fourrier
Tel bataillon, que dis-je? telle compagnie, telle section, voire même telle escouade, marche mieux que telle autre: elle a moins de traînards. La légion étrangère fait colonne avec les turcos, les zouaves, les zéphyrs. Eh bien! les hommes de ces divers régiments mourraient sous le faix plutôt que de s'avouer rendus. Un légionnaire en arrière? fi donc! Jamais de traînards chez nous!
Cependant on avait fait monter tous nos matelots pour regarder partir les zouaves.
Et quand, en leur honneur, la musique du Redoutable entonna la Marseillaise, on vit d'abord, sur ce paquebot qui s'approchait, les centaines de bonnets rouges tomber, d'un même mouvement d'ensemble, découvrant le velours des cheveux ras sur les têtes brunes ou blondes; ensuite s'élevèrent les habituelles clameurs: «Vivent les marins! Vive l'amiral!» les matelots répondant: «Vivent les zouaves!»
La quatrième depuis huit jours, adjudant. Voyez comme vous faites votre service. La quatrième poule, nom de Dieu! Quoi! quelle poule? fit l'autre ahuri. Disparue, volée, chapardée par les zouaves. Cela m'étonne, observa l'adjudant; car les spahis de garde ont la consigne de surveiller les zouaves qui entrent dans le bordj.
Sans l'intervention des officiers, combien de ces misérables que les zouaves exaspérés auraient châtiés d'importance! Déj
Donc, le paquebot qui portait «le bataillon de l'amiral Pottier» s'approchait tranquillement du Redoutable, tous les zouaves sur le pont, en rangs serrés, tournant vers nous des centaines de têtes brunies, coiffés du bonnet écarlate. C'était au déclin d'un soleil qu'on ne voyait pas, mais qui diffusait de mauvaises lueurs rougeâtres dans le ciel épais et sur la mer boueuse; le cercle de l'horizon restait imprécis, perdu dans les vapeurs de ces orages qui menaçaient toujours, sans fondre jamais; et, ç
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