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Mis à jour: 11 juillet 2025
Il est certain, observe Yvernès, que la nature a créé ce birgo pour ouvrir des noix de coco... Et qu'elle a créé la noix de coco pour nourrir le birgo, ajoute Frascolin. Eh bien, si nous contrariions les intentions de la nature, en empêchant ce crabe de manger cette noix, et cette noix d'être mangée par ce crabe?... propose Pinchinat.
Bref, le quatuor est assez remarquablement «parti», comme on dit dans l'ancienne Gaule, lorsque l'heure est venue de demander l'addition. C'est au caissier Frascolin qu'elle est remise par un maître d'hôtel en habit noir. Le deuxième violon jette les yeux sur le total, se lève, se rassied, se relève, se frotte les paupières, regarde le plafond. «Qu'est-ce qui te prend?... demande Yvernès.
«Sans doute, dit Yvernès, en évoquant de romanesques souvenirs, nous ressemblons
Il faut dire que bien qu'ils n'aient point encore pris des leçons de leur compatriote Dorémus, Sébastien Zorn, Yvernès, Frascolin, Pinchinat ont une tenue très correcte, cravate blanche de vingt- cinq francs, gants gris-perle de cinquante francs, chemise de soixante-dix francs, bottines de cent quatre-vingts francs, gilet de deux cents francs, pantalon noir de cinq cents francs, habit noir de quinze cents francs au compte de l'administration, bien entendu.
À supposer que Sébastien Zorn, Frascolin, Yvernès, Pinchinat eussent été gens
Et, cette formalité remplie, si Frascolin, Pinchinat et Yvernès ne baisent pas la main de Calistus Munbar, du moins la lui serrent- ils affectueusement. Quatre poignées de main
Quant aux femmes, ce sont encore les poétiques et gracieuses otaïtiennes de Bougainville, soit que les pétales blancs du tiare, sorte de gardénia, se mêlent aux nattes noires déroulées sur leurs épaules, soit que leur tête se coiffe de ce léger chapeau fait avec l'épiderme d'un bourgeon de cocotier, et «dont le nom suave de revareva semble venir d'un rêve,» déclame Yvernès.
Par Apollon, monsieur Munbar, répond Yvernès, prenez garde de trop surexciter notre curiosité!... C'est comme si vous chantiez une de ces phrases musicales qui laissent longuement désirer la tonique... Et cela finit par fatiguer l'oreille! ajoute Sébastien Zorn. Voyons, le moment est-il venu où vous consentirez
«Très beaux, ces hommes, dit Yvernès, moins peut-être qu'
«Et qui sait? dit Yvernès, dans un élan de prophétique enthousiasme, qui sait si le continent, qui fut englouti sous les eaux du Pacifique, ne reparaîtra pas un jour
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