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Mis à jour: 16 mai 2025
Cuvier avait admis la proportionnalité pure et simple entre le poids du corps et celui du cerveau. Il estimait que le poids relatif de ce dernier correspond au degré d'intelligence. Cette loi se vérifie quand on compare entre elles de larges divisions du règne animal, telles que les classes des vertébrés; le poids du cerveau représente pour l'homme 1/45 de celui du corps; 1/98 pour le, chevreuil; 1/392 pour le cygne; 1/4300 pour le requin, etc. Mais on aboutit aux résultats les plus paradoxaux si on compare les animaux d'une même classe ou d'une même espèce. Ainsi, la souris a une proportion d'encéphale égale,
La foule se précipita vers l'échafaud, la corde fut coupée par vingt couteaux, mais hélas!... il était trop tard... les vertèbres avaient été disloquées et la mort, par conséquent, instantanée!!!!...... La justice des hommes comme on le dit généralement était satisfaite........... Des médecins furent appelés en toute hâte. Ce que l'art put tenter fut vainement employé pour lui rendre la vie.
Débarrassé des complications qui résultaient pour Geoffroy Saint-Hilaire et pour Ampère de la comparaison qu'ils avaient essayée entre le squelette interne des vertébrés, désormais relégué au second plan, et le squelette externe des articulés, il retient cependant l'idée que le vertébré et l'articulé ont, relativement au sol, une attitude opposée; il insiste avec raison sur l'identité absolue de disposition que l'on observe dans les organes d'un animal annelé et d'un vertébré couché sur le dos, et arrive ainsi aux assimilations les plus légitimes. Il rappelle que ce renversement de l'animal se manifeste déj
Quoique le cou du lion soit d'une bonne longueur, il est d'une raideur étonnante. Aristote s'est trompé lorsqu'il l'a cru composé d'un seul os; il consiste en plusieurs vertèbres mobiles, qui ne laissent pas d'être parfaitement jointes. Celui du mâle est couvert d'une longue et rude crinière, qui se dresse lorsqu'il est en furie.
«Que si l'on veut voir dans la vie un effet, une résultante, on pourra exprimer le principe que nous voulons énoncer en disant que, chez les Invertébrés, cette résultante ne paraît pas être la conséquence de l'action plus particulière de tel ou tel point de l'organisme, comme cela a lieu chez les vertébrés, où, pour employer une expression un peu trop rigoureuse pour de tels objets, la résultante semble appliquée
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