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Mis à jour: 21 juin 2025
Délaissée, mademoiselle d'Houdancourt épousa de rage le plus laid, le plus bossu des ducs et pairs, M. de Ventadour. «Tant mieux si elle aime celui-l
Ce défaut capital, qui va s'accentuant pendant le XIIIe siècle, n'apparaît guère encore chez Bernard de Ventadour. Sans doute les yeux exercés peuvent y reconnaître des germes de caducité et de décadence, mais ils y sont rares. Ce qui domine c'est la finesse, une finesse apprêtée et maniérée dont malheureusement le charme disparaît dans la traduction; une imagination vive et sensible; et surtout une fraîcheur de sentiment et de poésie qu'on ne retrouve pas souvent dans la poésie provençale. Il n'est pas jusqu'aux débuts de ses chansons (qui en sont pourtant la partie conventionnelle) qui ne se distinguent par la fraîcheur et l'originalité des descriptions. Il a vu «l'alouette mouvoir de joie ses ailes vers le soleil»; il a entendu le rossignol «se réjouir sous les fleurs du verger». Il sait exprimer avec une grâce et une poésie toutes naïves les sentiments que fait naître en lui le contraste entre l'aspect de la nature et l'état de son coeur. Quand ce coeur est
Lorsque Louis XIV fit venir le jeune Dauphin et prononça les paroles, que nous allons rapporter, l'un des secrétaires écrivait dans la chambre même tout ce que disait ce prince. Madame de Ventadour, gouvernante du Dauphin, frappée de la grandeur de cette scène, et persuadée que ces conseils du grand roi pouvaient avoir une heureuse influence sur la jeune imagination de son élève, voulut, en les plaçant constamment sous ses yeux, les graver dans sa mémoire. Elle envoya donc la minute qui lui fut remise par le secrétaire
C'est ainsi que Bernard de Ventadour dit
Il nous reste plusieurs des chansons que Bernard de Ventadour composa pendant cette deuxième période de sa vie. Est-ce parce qu'il ne connaissait pas sa nouvelle dame depuis l'enfance comme il connaissait Agnès de Montluçon? Ou bien son aventure l'a-t-il rendu plus discret?
Commençons par une des rares biographies, dont l'auteur nous soit connu: celle de Bernard de Ventadour, écrite dans la première moitié du XIIIe siècle par le troubadour Uc de Saint-Cyr. Ce qui la distingue de toutes les autres, c'est que l'auteur en a recueilli les éléments auprès du vicomte Èbles IV de Ventadour, descendant d'Èbles II, poète, protecteur et maître de Bernard.
Dict. A la fin outré de la coupable indifférence de la nouvelle compagnie, il l'accusa auprès du duc de Ventadour, et peignit
On prétend bien aussi que le duc de Ventadour avait préservé de la même façon la vertu de sa fragile épouse. «Toutes les personnes un peu au fait de l'histoire intime de la cour de Louis XIV, écrit G. Brunet, savent que le duc de Ventadour, très laid, très contrefait, épousa Mlle de la Motte-Houdancourt, qui, par sa beauté et ses galanteries, fit beaucoup parler d'elle. Mme de Sévigné rapporte le mot malin de Mme Cornuel sur le bruit qui courut au sujet du moyen employé par le duc pour déjouer les intentions des adorateurs de son épouse: «Il a mis un bon suisse
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