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Mis à jour: 17 juin 2025
En 1818, je fis dans mes vignes de Mouffy une bonne récolte; je vendis pour 1,000 francs de vin qui bouchèrent un trou de mes dettes. Comme j'étais fier de porter, avec ma recette du mois, 2,000 francs
Voyant ce qui nous attendait, je ne vendis pas de vin, me disant que celui que nous avions, il fallait le garder pour le temps où il n'y en aurait plus du tout: et puis, afin de le ménager, on fonça de la vendange dans des barriques pour faire de la piquette toute l'année. Nous avions aussi une demi-barrique de vin de la vieille vigne qui avait quatre ans, et d'autre de deux ou trois ans.
En 1823-1824, je fis une moyenne récolte, mais en 1825 je fis d'excellent vin; j'en vendis pour me liquider avec MM. More et Labour, et il me resta 300 francs que j'employai de suite en épiceries, sans en prendre un sou de plus. Rentré chez moi, je dis
« Défendons-nous chacun de notre côté, et n'ayons aucune communication,» me dit Compeyson. «Et ce fut tout. «J'étais si pauvre, que je vendis tout ce que je possédais, excepté ce que j'avais sur le dos, afin d'avoir Jaggers pour moi.
Je vendis mon cheval, je renouvelai certaine partie de ma garde-robe et, le lendemain, je montai plein de joie dans la diligence de Mexico. J'étais une pauvre proie pour les voleurs et n'avais conservé de précieux qu'une montre
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