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Mis à jour: 22 octobre 2025
Elle part, elle se pose, Apparaît dans un éclair Et fuit, dédaignant la rose Pour le lotus froid et clair. À la fois puissante et libre, Soeur du vent, fille du ciel, Son aile frissonne et vibre Comme le luth d'Ariel. Fugitive, transparente, Faite d'azur et de nuit, Elle semble une âme errante Sur l'eau qui dans l'ombre luit.
Maria était beaucoup plus frappante de beauté, quoique ses traits ne fussent pas aussi corrects que ceux de sa soeur; mais sa physionomie était plus animée. Elle était grande, élancée, tous les détails charmans; le port et le mouvement de sa tête avaient quelque chose d'enchanteur. Ses cheveux étaient noirs ainsi que ses yeux, dans lesquels brillaient une vie, une intelligence telle qu'un seul de ses regards disait toute sa pensée et pénétrait au fond de l'ame. Son teint était assez brun, mais plus coloré que celui d'Elinor, et sa peau unie, transparente, lui donnait un éclat singulier. Son sourire, qui ressemblait
Son corps semblait avoir la rigidité d'une statue. Régulus reconnut avec stupeur qu'elle dormait. Elle était adorablement belle. Une chemise presque transparente, et ornée de dentelles, enveloppait son corps de vierge, gracile et fluet, comme d'une blanche écume, laissant entrevoir des formes d'une pureté divine. Le haut des épaules, les bras, le bas des jambes étaient nus et éblouissaient.
Les sylphes, tout étourdis du bruit de la veillée, descendent autour de vous en bourdonnant. Ils frappent du battement monotone de leurs ailes de phalène vos yeux appesantis, et vous voyez longtemps flotter dans l'obscurité profonde la poussière transparente et bigarrée qui s'en échappe, comme un petit nuage lumineux au milieu d'un ciel éteint. Ils se pressent, ils s'embrassent, ils se confondent, impatients de renouer la conversation magique des nuits précédentes, et de se raconter des événements inouïs qui se présentent cependant
La baronne était une de ces créatures moirées, si j'ose ainsi dire. On ne pouvait arrêter sa figure dans un contour net et immobile. Jamais aucun portrait d'elle ne lui avait ressemblé, parce que son visage n'existait pas sans le rayonnement de ses prunelles battues par les paupières, comme par un éventail qui les attisait; parce que sa peau transparente, qui laissait compter les veines, avait des lueurs fugitives; parce que sa grâce était un arome; parce que la voir, sans en être vu et sans qu'elle parlât, ce n'était pas la voir. Il n'était pas jusqu'
Nous l'avons connue et admirée aussi, cette apparition transparente du génie dans la beauté. Nous avons entrevu dans tous les climats bien des femmes dont les traits éblouissaient les yeux, dont le timbre de l'âme dans la voix ébranlait le coeur, dont les regards répandaient plus de lueurs qu'il n'y en a dans l'aube et dans les étoiles d'un ciel d'Orient; mais nous n'avons jamais vu et nous craignons qu'on ne revoie jamais (car la nature s'égale mais ne se répète pas) une créature innomée comparable
Au milieu d'elles, de minces poissons d'argent filaient, fuyaient, vus une seconde et disparus. D'autres, endormis encore, flottaient suspendus au milieu de ces broussailles d'eau, luisants et fluets, insaisissables. Souvent un crabe courait vers un trou pour se cacher, ou bien une méduse bleuâtre et transparente,
Pouvait-elle, derrière la gaze transparente de son voile de tulle, entrevoir le séduisant élu de son coeur lui apporter, avec le sourire enchanteur de l'attente, la promesse du bonheur tant désiré?
La mère de Renaud, un souffle, une âme, une figure transparente de missel, était morte en le mettant au monde. Puis son père s'en était allé après trois ans de désespoir languide et fleuri, mystiquement amoureux de la défunte, adonné vers la fin aux sciences occultes. L'orphelin avait eu une enfance paresseuse, peu surveillée, et fait au hasard des études capricieuses et incomplètes.
Et Cecily commença une sorte de récitatif bien plus accentué par l'expression de la voix que par la modulation du chant. Quelques accords, doux et frémissants, servaient d'accompagnement. Telle était la chanson de Cecily: Des fleurs, partout des fleurs... Mon amant va venir! L'attente du bonheur et me brise et m'énerve. Adoucissons l'éclat du jour, la volupté cherche une ombre transparente.
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