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Mis à jour: 31 mai 2025
Mais les autres zaouïa, de quoi vivent-elles? De ziara et d'achour [Offrandes et quêtes.]. Elles possèdent aussi des terres, du bétail, des figuiers et des oliviers provenant de legs pieux. Ce fonds est exploité par des khemmes [Métayers.], qui prélèvent un cinquième de la récolte, ou au moyen de corvées religieuses. Ces touïza, comme celles pour les pauvres, sont imposées par les djemâa, car l'oukil et les tolbas n'exercent parmi nous aucune autorité. En Kabylie, la religion n'est pas du tout mêlée
Pauvreté n'est pas vice chez nous, reprit fièrement Bel-Kassem; et quand un homme est frappé par le malheur, si l'ennemi ou l'ouragan a ravagé son champ, renversé ses arbres, détruit sa maison, tout le village lui vient en aide: chacun lui offre son aumône, et la djemâa ordonne la touïza, corvée dont nul ne peut se dispenser; on la fait également pour entretenir, labourer ou ensemencer le bled-rabbi [Le bien de Dieu.], qui provient de legs charitables et dont les fruits, figues, olives ou blé, sont abandonnés aux pauvres. Celui qui refuserait de s'acquitter de cette corvée, imposée
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