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Tu écrivais au duc et tu lui disais que j'exigeais la rupture de votre intimité; puis, après avoir en quelques mots exprimé combien cela t'était cruel, tu ajoutais qu'il n'y avait qu'un moyen pour que cette rupture n'eût pas lieu; et ce moyen, c'était qu'il vint

Ah! s'écria-t-il, chère adorée, ma faute est envers toi! Je ne devais pas admettre une étrangère dans le sanctuaire de mon coeur, qui t'était consacré! Après t'avoir aimée, je ne devais plus aimer que mon devoir, je devais vivre pour l'humanité souffrante, que nous avons rêvé de consoler ensemble! J'aurais rester pauvre, j'aurais mépriser les honneurs et les dignités qui m'ont tourné la tête; sorti du peuple, je devais me consacrer

Tu souffris de tout ce qui t'était refusé: choses pourtant qui ne t'importaient guère. Tu te dévorais d'amour et d'ambition; mais ni la femme ni le pouvoir n'avaient de place dans ton âme. C'est le désir même que tu recherchais; quand il avait atteint son but, tu te retrouvais stérile et désolé. Tu connus ce vif sentiment du précaire qui fait dire par l'amant, le soir,

La tristesse d'aimer sous les cieux s'étalait, Non faible, mais robuste, apaisée, acceptante; Et je posais sur toi, chère âme humble et tentante, Mes yeux le pouvoir humain s'accumulait. Et lentement je vis dans tes yeux apparaître Le poison de mon rêve, en ton âme injecté. Les clairons s'éloignaient dans la brume champêtre, De tout l'or du soir, seul mon coeur t'était resté.

Près des vagues d'Hellé s'élève une voix de deuil! et l'œil de la femme est humide la joue de l'homme est pâle: Zuleïka! dernier rejeton de la race de Giaffir, l'époux qui t'était destiné est arrivé trop tard; il ne te voit pas il ne verra jamais ton visage!

»N'allez pas croire, pourtant, que ce spectacle d'une vieillesse paisible après une jeunesse un peu égarée, dérange mes principes. Je ne me fais pas plus forte qu'une autre, mon cher ami, et je sens surtout ma vertu bien solide, parce qu'elle est appuyée sur le bonheur et sur l'amour Je réponds de moi, parce que je t'aime et que je te suis chère. Douze années d'expérience m'ont assez prouvé que mon coeur t'était uniquement destiné, mais, ta sévérité dût-elle s'en alarmer, je n'aurais pas été si sûre si tu n'avais pas été mon mariQuelques années plus tard, vers la fin du mois de janvier 1813, madame d'Houdetot mourait

Diégo! tu m'as dit que cette jeune fille t'était indifférente? Oui. Tu as menti! Hermosa! Tu as menti! te dis-je. Mais, je te jure... Allons-donc! interrompit Hermosa avec dédain, crois-tu donc que je t'aime encore assez pour être jalouse? Eh bien, alors? Je veux que tu me dises la vérité. Je te l'ai dite.

Ma chère amie, je reçois tes lettres du 14 et 16, je suis peiné de la perte de Mlle Antoinette qui t'était attachée depuis si longtemps; cette pauvre fille avait eu un grand malheur