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Siva est le dieu de l'Inde qui a le plus de sanctuaires et le linga est le symbole le plus répandu. On le trouve

Par une série de transformations, les Brahmes ont fait de la divinisation de la vie et de la génération, l'essence même de la religion. Aujourd'hui les Hindous se divisent en deux grandes sectes: les adorateurs de Siva, autrefois Roudra, qui portent au bras gauche un anneau dans lequel est renfermé le lingam-yoni, sorte d'amulette figurant l'accouplement des organes des deux sexes, (verenda utriusque sexus in actu copulationis), et ceux de Vishnou qui portent au front le Nahman. C'est une sorte de trident tracé

M. Burnouf sait que le culte du monstrueux Siva accompagne, même

Comme il ne s'est trouvé aucune trace de fétichisme chez les Ariahs de l'époque védique, ni aucun autre fétiche dans le culte brahmanique postérieur, il faut penser que le linga est le fétiche probablement très ancien d'une race assujettie, peut-être les Daysous noirs, et que les Brahmes, pour s'attacher cette race, adoptèrent Siva et le linga, en confondant

Dans cette période reculée, Siva est la cause efficiente qui, par son énergie ou sa sakti comme instrument, produit ou détruit le monde qui a pour matrice la prakrite ou la matière universelle (voir, pour la définition de la prakriti, le sankya commenté par M. Barthélemy de Saint-Hilaire). La sakty d'un dieu forme avec lui un seul être

La religion naturaliste ou érotique de l'Inde a commencé par l'adoration de Siva, confondu d'abord avec le fétiche du membre viril, le linga. Le linga, qu'on rencontre partout dans l'Inde, sur les routes, aux carrefours et places-publiques, dans les champs n'est point ce qu'était dans l'antiquité payenne le phallus, une image obscène et quelquefois un objet d'art. Si on n'était point averti, on le prendrait pour une borne presque cylindrique, c'est-

Le temple d'Issouara (Siva, être suprême)

6°. C'est le Seigneur en personne (le linga est Siva lui-même), se disaient tous ceux qui ont des mérites excellents (les ascètes). Aussi vouèrent-ils une affection éternelle