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Mis à jour: 7 mai 2025
Le physique est excellent. Servin de Figon est grand et mince, avec un visage au nez allongé, un front petit, et comme une inexprimable suffisance répandue autour de sa bouche et de ses joues. Invinciblement, en sa présence on pense au proverbe «vaniteux comme un paon,» et l'on constate une extraordinaire identité de physionomie entre cet oiseau et cette figure. De chaque côté de ce visage tout en pointe partent deux oreilles trop détachées. Une raie tracée au milieu de la tête divise les cheveux noirs en deux plaques luisantes et cosmétiquées savamment. La moustache est d'une autre couleur que les cheveux, presque rousse, et sa tournure atteste le coup de fer quotidien. Mais ce qui achève de donner
Or l'année dernière, elle eut une attaque, dans laquelle elle tomba, le poignet lui fermant la bouche et l'étouffant... Alors cette fois, ç'a été chez Servin, une saoulerie illimitée, terminée par la mort. Samedi 17 avril.
Nous parlons du passé de Peyrelongue, ce marchand de tableaux phénoménal, qui n'a jamais vendu un tableau de sa vie, de Galetti, de Servin, de Pouthier, des uns et des autres, morts ou disparus, enfin de Dinochau, le cabaretier de la littérature sous l'Empire.
Mercredi 7 avril. Je ne sais plus qui me contait, ces jours-ci, la fin de Servin, de ce peintre que j'ai connu du temps de Pouthier, et qui a peint quatre ou cinq tableaux, entre autres «Une
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