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Mis à jour: 23 juillet 2025
Triste retour! tristes sentiers battus par des rois tremblants! Ma mère était retombée en ce triste état d'anéantissement, voisin du rêve... ma cousine Hélène, abattue et pensive, semblait dévorer l'espace qui s'étendait devant nous. Elle oubliait ses dangers,
Près de nous la jeunesse a passé les mains vides, Sans nous avoir fêtés, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sur nos lèvres avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte, Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri Parfois s'offrait
Il est nuit close lorsque nous quittons l'établissement. Nous suivons des sentiers solitaires et pénétrons de nouveau dans les quartiers ouvriers. À l'approche des églises, nous entendons le chant des litanies; ces braves gens, après avoir reçu leur paye du samedi, clôturent la semaine par le salut.
Comme si c'était la première fois! Mais tu deviens artiste comme le Porpora veut que tu le sois; ma bonne Consuelo! La fièvre du succès s'est allumée en toi. Quand tu chantais dans les sentiers du Boehmer-Wald, tu me voyais bien pleurer et tu pleurais toi-même, attendrie par la beauté de ton chant; maintenant c'est autre chose: tu ris de bonheur, et tu tressailles d'orgueil en voyant les larmes que tu fais couler. Allons, courage, ma Consuelo, te voil
Ton bouquet d'ormeaux, ta colline verdoyante, chacun de tes sentiers, me ravissent encore. Chaque fleur exhale un double parfum. Il me semble encore, au milieu de nos doux entretiens, entendre chacun de mes compagnons s'écrier: L'amitié, c'est l'amour sans ailes!
Au bout d'une heure, j'étais au milieu de la campagne absolument égaré. Autour de moi rien que l'obscurité, le silence des nuits d'hiver. J'errais dans des sentiers détrempés; personne
Pendant une demi-heure environ, ce funèbre convoi resta hors de leur vue dans les profondeurs de la vallée. Puis, ils le réaperçurent qui serpentait sur les sentiers de la montagne. L
Le soleil d'une heure est brûlant sur les sentiers desséchés, sur les vieux cèdres tout gris de poussière.
Un soir du mois de novembre, que les indiens Aucas nomment kèkil-kiyen, le mois d'émonder, un voyageur monté sur un fort cheval des pampas de Buenos-Ayres, suivait au grand trot un de ces milles sentiers tracés par les Indiens, inextricable dédale qu'on retrouve sur le bord de tous les fleuves d'Amérique.
La plupart, attirés par la vue de quelques sentiers latéraux, se dispersent dans les champs avec l'espoir d'y trouver du pain et un abri pour la nuit qui s'approche mais, dans leur premier passage, tout a été dévasté sur une largeur de sept
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