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Mis à jour: 3 juin 2025


Lord Palmerston avait, au fond, peu de regret que son offre pour la cession du pachalik de Saint-Jean-d'Acre

Il avait commencé le siége le 30 ventôse (20 mars), il le leva le 1er prairial (20 mai): il y avait employé deux mois. Avant de quitter Saint-Jean-d'Acre, il voulait laisser une terrible trace de son passage: il accabla la ville de ses feux, et la laissa presque réduite en cendres. Il reprit la route du désert. Il avait perdu par le feu, les fatigues ou les maladies, près du tiers de son armée d'expédition, c'est-

Pendant cet intervalle, on n'avait cessé de miner, de contre-miner autour des murs de Saint-Jean-d'Acre. On se disputait un terrain bouleversé par l'art des siéges. Il y avait un mois et demi qu'on était devant la place, on avait tenté beaucoup d'assauts, repoussé beaucoup de sorties, tué beaucoup de monde

Ces diverses populations eussent bien aisément fourni une magnifique armée qui aurait précédé nos légions, lesquelles n'auraient plus été engagées que dans les occasions leurs efforts seraient devenus nécessaires; mais avant tout il fallait prendre Saint-Jean-d'Acre.

Il avait fait de grandes pertes en officiers d'un rare mérite; le général Caffarelli-Dufalga, qui commandait le génie, était mort au siége de Saint-Jean-d'Acre,

«Une fois les troupes anglaises maîtresses de Saint-Jean-d'Acre, que feraient-elles? avec quels moyens avanceraient-elles dans ces montagnes de Judée, si arides, et ,

Après la prise de Jaffa, l'armée continua sa marche, et arriva devant Saint-Jean-d'Acre, l'ancienne Ptolémaïs.

Un mot prononcé, comme une phrase d'oracle, devant Saint-Jean-d'Acre, a révélé une pensée féconde et parallèle

Saint-Jean-d'Acre pris, ce plan s'achevait; le sort du monde était dans sa tour. Bonaparte ne se trompait pas. Aujourd'hui, les hommes,

Pour revenir au conseil que notre saint roi tenait pour délibérer sur la résolution que l'on prendrait, les avis se trouvèrent partagés. Les uns voulaient qu'on allât a Ptolémaïs, ou Saint-Jean-d'Acre: c'était la seule place forte qui restait aux chrétiens dans la Palestine, et le soudan d'Egypte menaçait de venir l'assiéger. L'armée française, disait-on, y trouverait, avec toutes sortes de rafraîchissemens, les vieilles troupes des croisés orientaux, aguerris depuis long-temps, et d'autant plus braves qu'ils se voyaient réduits

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