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Mis à jour: 21 mai 2025


Et cet odieux Nana Sahib qui était l

Un mois après son arrivée au pâl de Tandît, Nana Sahib crut pouvoir agir en toute sécurité. Il pensa que le fait de sa réapparition dans la province avait été reconnu faux. Des affidés le tenaient au courant de tout ce que le gouverneur de la présidence de Bombay avait fait pour opérer sa capture. Il savait que, pendant les premiers jours, l'autorité s'était livrée aux recherches les plus actives, mais sans résultat. Le pêcheur d'Aurungabad, l'ancien prisonnier du Nana, était tombé sous le poignard, et nul n'avait pu soupçonner que le faquir fugitif fût le nabab Dandou-Pant, dont la tête venait d'être mise

«Le départ de Mrs. Honlay et de lady Munro éprouva des retards qui eurent des conséquences funestes. Les malheureuses femmes furent surprises par les événements et ne purent quitter Cawnpore. «La division était alors commandée par le général sir Hugh Wheeler, soldat droit et loyal, qui devait être bientôt victime des astucieuses manoeuvres de Nana Sahib.

Cette nouvelle circonstance, Nana Sahib avait eu grand soin de l'exploiter. Une fois de plus, elle lui assurait une sécurité presque absolue. En effet, son frère ne devait pas être recherché par la police anglaise avec le même acharnement que lui, et il ne le fut pas.

Cette idée, il ne put la supporter! Mieux valait périr sous les yeux de Nana Sahib et des siens! Munro allait appeler, réveiller ses bourreaux!...

Mais, plus facile aussi serait la poursuite. Chercher un refuge, c'était inutile. Tous deux auraient été bientôt découverts. Donc, nécessité de distancer les Indous, et, en outre, de sortir avant eux du dernier défilé des Vindhyas. La résolution du colonel Munro fut aussitôt prise. Il ne retomberait pas vivant aux mains de Nana Sahib.

Devant ce puits les deux femmes, la mère et la fille, après avoir été frappées par les bouchers de Nana Sahib, avaient été précipitées, encore vivantes peut-être, sir Edward Munro ne put retenir ses larmes. Il tomba

Il devait néanmoins en résulter ceci: c'est que, puisqu'il n'y avait aucune preuve certaine de la mort de Nana Sahib, la légende allait reprendre ses droits; c'est que, dans l'esprit des populations de l'Inde centrale, l'insaisissable nabab passerait toujours pour vivant, en attendant que l'on fit un dieu immortel de l'ancien chef des Cipayes.

«Mais, deux jours avant, lorsque Nana Sahib apprit que les troupes royales avaient franchi la rivière de Pandou-Naddi, il résolut de signaler par d'épouvantables massacres les dernières heures de son occupation. Tout lui semblait permis vis-

C'était bien par Nana Sahib qu'il avait été dépêché. C'était bien par lui seul qu'il avait été choisi pour préparer ses vengeances.

Mot du Jour

batilliat

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