Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 19 juin 2025
Le matin du quatrième jour les arbres, courbés par la tourmente redressaient leurs panaches ruisselants. Le soleil revenait sécher les pleurs de la nature qui souriait
Après avoir fait pivoter ou s'enfoncer des pans de muraille qui se redressaient derrière lui, après avoir ouvert, rien qu'en les touchant, de monstrueuses portes de fer qui se refermaient d'elles-mêmes sur lui, il parvint au pied d'un petit escalier de pierre très étroit et très raide.
Le vicaire, avec des colères brusques qui le redressaient, les cheveux secoués, les poings en avant, comme un homme en proie
Oui, sans armes, messieurs, sans armes et sans mauvaises intentions, articula faiblement une voix chevrotante, tandis que les jambes se redressaient, que l'homme se relevait et que les deux amis le considéraient, prêts
Les mouches et les maringouins jaillissaient par milliers du foin coupé et les harcelaient de leurs piqûres; le soleil ardent leur brûlait la nuque et les gouttes de sueur leur brûlaient les yeux; la fatigue de leurs dos toujours pliés devenait telle vers le soir qu'ils ne se redressaient qu'avec des grimaces de peine. Mais ils besognaient de l'aube
Fritz s'étant retourné sur les marches de l'estrade, promena ses regards autour de la salle, et il eut peur un instant de ne pas trouver Sûzel. Les belles filles ne manquaient pas: des noires et des brunes, des rousses et des blondes, toutes se redressaient, regardant vers Kobus, et rougissant lorsqu'il arrêtait la vue sur elles; car c'est un grand honneur d'être choisie par un si bel homme, surtout pour danser le treieleins. Mais Fritz ne les voyait pas rougir; il ne les voyait pas se redresser comme les hussards de Frédéric-Wilhelm
Edwige Légaré et Esdras s'avançaient alors, et lorsque l'arbre n'était pas trop lourd pour leurs forces jointes ils le prenaient chacun par un bout, croisant leurs fortes mains sous la rondeur du tronc, puis se redressaient, raidissant avec peine l'échine et leurs bras qui craquaient aux jointures et s'en allaient le porter sur un des tas proches,
Des blessés se traînaient dans l'espace vide, se joignaient, se redressaient comme des serpents brisés et luttaient, les républicains avec leurs baïonnettes, et les Chouans avec leurs couteaux. Ceux des Chouans qui, blessés, étaient trop loin pour se battre corps
On allait toujours. Certains paysans, conducteurs de carriole, achetaient aux traînards leurs cuirasses, leurs bottes, les chevaux fourbus, les uniformes. Ils attiraient du fond de la campagne des misérables grelottant de fièvre, qui se dépouillaient de leurs habits en échange de peu de monnaie. Malins, les rustres marchandaient, puis regagnaient leur argent pour l'eau-de-vie d'un tonnelet mis au cul de la carriole. Ils se redressaient, dans leur habit de toile doublé en drap vert et garni de gros boutons de métal. Au trot de poneys grisons, il en arrivait encore qui se saluaient, soulevant leurs chapeaux triangulaires. De moins cossus trafiquèrent
Les arbustes, froissés par la tempête précédente, se redressaient aux premiers baisers du soleil; leurs feuilles humides de rosée scintillaient comme des émeraudes; et quelques petits oiseaux cachés dans les broussailles saluaient mélodieusement de leurs gazouillis la promesse d'un beau jour. Quelle différence entre le lever de ce jour et le coucher de celui auquel il succédait!
Mot du Jour
D'autres à la Recherche