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Mlle Clairon nous reçut, mais très froidement. Petite femme, aux allures glaciales et bien près de l'impertinence. Dédaigneuse, Mlle Raucourt lui baisa la main qu'elle tendit

La commune histoire, que cet amour contrarié d'Honoré Fouchard et de Silvine Morange. Elle, une fille brune aux beaux yeux de soumission, avait perdu toute jeune sa mère, une ouvrière séduite, qui travaillait dans une usine de Raucourt; et c'était le docteur Dalichamp, son parrain d'occasion, un brave homme toujours prêt

Enfin, le vieux daigna expliquer qu'il était tout de même allé, le matin, au marché de Raucourt, avec sa carriole, en emmenant sa servante. Ce n'était pas une raison, parce qu'il passait des soldats, pour que le monde cessât de manger de la viande et pour qu'on ne fît plus ses affaires. Il avait donc, comme tous les mardis, emporté l

Mlle Raucourt me présenta

Cette apostrophe mit les rieurs du côté de Valville. Raucourt en prit son parti; elle venait d'apercevoir une grosse servante au front coloré, arrivant tout en nage par l'un des corridors. Cette femme tenait

Mademoiselle Raucourt n'était point seulement une grande actrice; elle joignait

Nous avons dit «une magnifique maison»; nous aurions dire «une petite maison», car c'était une véritable petite maison dans le style Louis XV, que cet hôtel de Mlle Raucourt. Vers la fin du dix-huitième siècle, siècle étrange l'on appelait tout haut les choses par leur nom, Sapho-Raucourt jouissait d'une réputation, dont elle ne cherchait pas le moins du monde

Pour utiliser les soirées, Mlle Raucourt avait imaginé de me faire répéter en costume. Elle avait quelques méchants manteaux au fond d'une vieille caisse, un diadème en paillon. Me voil

Ce qui l'attirait, cette jeunesse, au théâtre Louvois, le 19 février 1796, c'était sa réouverture, sous la direction de la célèbre mademoiselle Raucourt, qui avait réuni quelques-uns de ses camarades du Théâtre-Français, et qui tentait avec eux de ramener les esprits

Rien n'est plus curieux pour la forme, et surtout pour le fond, que ce manifeste. Il s'agit des trois lettres publiées dans le tome X de l'Espion anglais de Pidansat de Mairobert. Ces lettres et le manifeste Saphique, prononcé par la demoiselle Raucourt, présidente de la secte anandrine, ont été réédités, sous le titre d'Anandria ou Confessions de Mlle Sapho, en 1778-1779 et 1866.