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Quinte-Curce dit que le char que montait Darius était tout resplendissant de pierreries, que sur ce char il y avait deux figures d'or massif hautes d'une coudée, lesquelles représentaient la Paix et la Guerre, et qu'au milieu de ces deux figures, un aigle, également d'or, ouvrait ses ailes et semblait prêt

Quinte-Curce dit que Darius portait une tunique de pourpre lisérée de blanc, et un manteau frangé d'or que réunissaient sur la poitrine du roi deux éperviers qui semblaient se becqueter. En outre, Darius avait une tiare bleue et blanche, son sceptre

Mais ce personnage très historique est resté légendaire, sans doute parce qu'il s'est , pour ainsi dire, hors des prises de l'histoire et de la critique de son temps; que sa vie n'a pu être racontée que sur des documents très incomplets et très mêlés, et qu'enfin elle n'a été écrite que plusieurs siècles après sa mort, par le strict et prudent Arrien, le facile Plutarque, l'abréviateur Justin, et par le demi-romancier Quinte-Curce, dont on ne sait s'il vivait sous Claude ou sous Théodose, ou si même il ne fut pas quelque clerc subtil du moyen âge.

Le Jardin des Plantes vient de recevoir un nouvel hôte qui donne beaucoup d'inquiétude au Constitutionnel. Cet étranger, venu d'Asie, est connu vulgairement sous le nom d'éléphant; le Constitutionnel, en publiant cette grande nouvelle, ne nous dit pas si l'intéressant animal descend de l'éléphant Zamalaya dont parle Quinte-Curce, et que Darius montait

L'année suivante, 1665, Racine donna au théâtre la tragédie d'Alexandre le Grand, tirée de Quinte-Curce et imitée de Corneille et du roman chevaleresque de Mlle de Scudéri. L'élégance de la versification et les allusions adulatrices

L'autre morceau remarquable de ce VIIIe livre de Quinte-Curce, c'est la bataille de l'Hydaspe. C'est une bataille colorée, et on peut dire «amusante», par le stratagème d'Alexandre qui installe

Une autre chose inspirait la plus grande confiance aux pères et aux mères de famille. Il ne lisait jamais et n'avait jamais rien lu, excepté des recueils de calembours. Il avait fait ses classes comme tout le monde, et entendu expliquer Quinte-Curce, Tite-Live et Virgile, même il en avait copié (mais bien

Marc, XV, 10. Matth., XXVII, 20; Marc, XV, 11. Le nom de Jésus a disparu dans la plupart des manuscrits. Cette leçon a néanmoins pour elle de très-fortes autorités. Matth., XXVII, 16. Cf. saint Jérôme, In Matth., XXVII, 16. Marc, XV, 7; Luc, XXIII, 19. Matth., XXVII, 26; Marc, XV, 45; Jean, XIX, 1. Jos., B. J., II, XIV, 9; V, XI, 4; VII, VI, 4; Tite-Live, XXXIII, 36; Quinte-Curce, VII, XI, 28.