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Malgré tout, cet entretien s'était encore moins mal terminé qu'il ne l'avait craint, quand il avait vu tendait l'interrogatoire du comte. La rupture immédiate qu'il avait pressentie et qu'il avait cru certaine ne s'était point accomplie. C'était quelque chose, cela, et même une grande, une très grande chose. Il avait du temps devant lui. Qu'arriverait-il pendant ce temps de grâce?

Mais, dira-t-on, qu'arriverait-il si la vitesse diminuait, et comment obtenir une vitesse suffisante? Toutes les tentatives faites jusqu'

Je ne serais certainement pas assez folle pour courir vers lui; et pourtant je ne puis pas l'affirmer, je n'en suis pas sûre. Et alors qu'arriverait-il? Dieu veille sur lui! Si je goûtais encore une fois au bonheur que son regard sait me donner, qui en souffrirait?

Raison de plus, monsieur, répondit le bourgmestre en accentuant ses syllabes. Autres temps, autres moeurs! Le progrès marche, et nous ne voulons pas rester en arrière! Avant un mois, nous entendons que nos rues soient éclairées, ou bien vous payerez une indemnité considérable par jour de retard! Et qu'arriverait-il si, dans les ténèbres, quelque rixe se produisait?

BRUTUS. Eh bien! qu'arriverait-il? M

Or, qu'arriverait-il

Et ce doute l'envahit, cette inquiétude, cette épouvante; si une force plus puissante que sa volonté, dominatrice, irrésistible, le domptait, qu'arriverait-il? Oui, que pouvait-il arriver? Certes, il irait sur le terrain, puisqu'il voulait y aller. Mais s'il tremblait? Mais s'il perdait connaissance? Et il songea

Alors qu'arriverait-il? Nous verrons cela. Aujourd'hui, c'est

«Alors qu'arriverait-il? se demandait avec effroi le commissaire Passauf. Comment arrêter ces sauvages fureurs? Comment enrayer ces tempéraments aiguillonnés? C'est alors que ma charge ne sera plus une sinécure, et qu'il faudra bien que le conseil en arrive

En août 1897, les nombreuses dames qui prenaient part au congrès de Zurich se sont toutes rangées du côté de M. Bebel, qui défendait l'émancipation économique de la femme contre les démocrates catholiques dirigés par M. Decurtins. Le capitalisme ayant fait entrer la femme dans la production, il n'est pas plus facile, au dire du socialiste allemand, de supprimer la main-d'oeuvre féminine que d'abolir le télégraphe ou le chemin de fer. Effrayé d'une concurrence qui se fait de plus en plus redoutable, l'homme s'apitoie hypocritement sur le sort de l'ouvrière des fabriques et réclame son expulsion des métiers mécaniques. Mais qu'arriverait-il si, d'un trait de plume, le législateur jetait dehors les millions de femmes qui y sont employées? Ce serait les vouer